1. Belle mère, 3° partie


    Datte: 08/07/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... vers son plafond artistique. Voilà pourquoi il se faisait nommer le Faune Noir. Mais, comme tous ses invités, nous l’appelions Maître, tout simplement.
    
    Il prétendait être âgé de plus de deux mille ans, et avoir connu personnellement Jésus afin de le tenter, au désert. Car il se disait une incarnation du Diable. Son rire était aussi énorme que son sexe. Chez lui, le champagne coulait à flots. Mais si nous nous grisions volontiers, il valait mieux éviter de trop s’enivrer afin de profiter pleinement de la partie fine. Pas d’électricité : tout était éclairé à la bougie. De toute manière, nous n’étions pas venus là pour recharger nos téléphones, mais pour d’autres genres de branchements nettement plus charnels.
    
    Parfois, il réalisait d’authentiques miracles. Je me souviens d’une femme mûre qui avait une grosse tumeur à l’intérieur d’un sein. Elle avait des métastases partout et les médecins avaient renoncé à la soigner en lui avouant que son cas était incurable. Le Faune Noir l’a allongée sur son autel – un authentique autel d’église, en pierre blanche, ancien et très décoré, qu’il avait acheté à un curé. Il a prononcé des phrases dans une langue étrange et ses yeux se sont mis à briller de rouge. Il l’a pénétrée en vaginal, puis en anal, très profondément. Elle a joui d’une manière tellement intense qu’elle est entrée en transe, après avoir poussé des hurlements. Puis elle s’est évanouie. Le lendemain, la boule avait disparu. Elle était guérie. Elle est d’ailleurs toujours ...
    ... en vie. C’était environ un an auparavant.
    
    Le Faune Noir n’acceptait jamais de cadeaux pour les services qu’il rendait. Seul l’intéressait le corps des femmes ; c’était pour lui une véritable passion. La semaine suivante, la femme qu’il avait guérie était venue accompagnée de sa fille de dix-huit ans, prénommée Lisa. Celle-ci était pucelle et acceptait de perdre son pucelage entre les bras du Faune Noir, afin de le remercier d’avoir sauvé sa maman. Mais, une fois nue, allongée sur l’autel et à la croisée des regards d’une vingtaine d’invités, dont Claire et moi, la jeune fille qu’aucun garçon n’avait jamais touchée tremblait comme une feuille aux vents d’automne. Elle trouvait la bite du Faune vraiment gigantesque pour sa petite chatte vierge surmontée de quelques poils bruns. Mais notre Lucifer s’est abondamment lubrifié, et il a défoncé l’abricot sans difficulté.
    
    Quelques gouttes de sang ont coulé sur la surface blanche de l’autel. On voyait le sceptre déformer le ventre à chaque coup de boutoir. Quand il a éjaculé en poussant un hurlement de loup, le foutre débordait du vagin jusqu’à ruisseler sur l’autel. Devant lui, le Christ en bois verni, grandeur nature nous regardait en souriant depuis sa croix. Contrairement à ce que l’on voit dans la plupart des églises normales, il n’était pas vêtu d’un page, et bandait autant que notre ami le Faune Noir. La mère de Lise, celle qui venait de retrouver la santé, assistait à la scène pendant que je lui pelotais les seins et que ...