1. Belle mère, 3° partie


    Datte: 08/07/2020, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    L’automne venu, Michel est mort, emporté par une soudaine crise cardiaque au moment où il a joui dans la bouche de Rose, après deux mois de frustration dans une cage pénienne. Le médecin a diagnostiqué une épectase, c’est-à-dire le décès pendant l’acte sexuel. Il est parti heureux, enterré nu avec son habituelle prison d’inox autour de son sexe. Claire et moi sommes allés assister à ses obsèques pendant les vacances de Toussaint.
    
    Rose était profondément malheureuse d’avoir perdu son soumis chéri. Ma douce compagne et moi l’avons consolée comme nous avons pu, c’est-à-dire à grands coups de bite et de gode-ceinture – Claire ne quittait quasiment plus jamais la sienne. Nous avons même copulé au funérarium, puis au cimetière, sur la tombe de mon beau-père, sous la pleine Lune. L’air était doux. C’était hautement romantique. Mais ensuite, il nous a fallu rentrer chez nous, car le travail nous attendait. Rose a tenu à nous accompagner, avec force promesses de tenir notre appartement d’une manière impeccable, et d’être une fée du logis en plus de se tenir sexuellement à disposition de notre couple. Pourquoi pas ?
    
    Elle s’est donc installée dans la chambre d’amis, et nous préparait, nue sous son tablier de cuisine, de bons petits plats que nous trouvions tout fumants le soir, en rentant. Claire, en apercevant son joli cul de cochonne, la coinçait souvent contre l’évier et la sodomisait avec son gode. Ou bien, c’était moi qui procédais ainsi, avec mon engin naturel. Il fallait ...
    ... juste retirer les boules de Geisha vibrantes qu’elle gardait à longueur de journée.
    
    Un soir, Rose a troqué son tablier contre une robe de chambre afin de ne pas trop se faire remarquer dans la rue en marchant jusqu’à la voiture. Nous sommes allés, comme chaque semaine, au manoir du Faune Noir, et, pour la première fois, ma belle-mère nous accompagnait.
    
    Le Faune Noir était un étonnant personnage qui donnait de fabuleuses soirées dans le sous-sol de son habitation située en rase campagne. Extérieurement, la bâtisse était lugubre, comme si elle était abandonnée, avec un jardin couvert de ronces et d’orties. Mais à l’intérieur, les décorations étaient de toute splendeur, en particulier le sous-sol dont le haut plafond était peint comme à Versailles, mais avec des sujets nettement plus libertins, voire obscènes. Des statues d’albâtre aux poses lubriques signalaient l’entrée de l’escalier qui descendait vers le lieu de la réception.
    
    Notre hôte, comme à l’accoutumée, était vêtu d’un justaucorps et de bottes, tout de cuir, de la couleur qui justifiait son pseudonyme. Il était en outre masqué – nous n’avons jamais vu son visage. Ses vêtements ne laissaient voir que ses yeux, sa bouche et son sexe, car le pantalon était fendu à l’entrejambe. Le gaillard mesurait bien deux mètres, avec des muscles à l’avenant et des génitoires très grand format. Nous ne l’avons jamais vu autrement qu’en pleine érection, le gland sphérique comme un boulet de canon dégoulinant de rosée et tourné ...
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