Une paire de bottes en cuir ... au débotté (suite ) - Histoires de Sexe

Une paire de bottes en cuir ... au débotté (suite )

... son soutien-gorge, sans discuter, après avoir avalé une longue gorgée de whisky soda.

— Tu n’enlèves pas plutôt ta jupe, ma chérie ?
— Non, Christiane n’a pas hésité à montrer ses seins. Nous voici à égalité !

Christiane perd, l’a-t-elle fait exprès ? Elle enlève cette fois sa robe, de façon langoureuse, comme si elle était dans un club de strip tease et se retrouve nue, seulement porteuse de ses bottes.

Bernard nous sort un 421 !

— Alors, Bernard, quel sera ton gage ?
— Je demande à ma femme de vous présenter, à ta femme et à toi, mon dernier petit cadeau intime.

Christiane nous gratifie d’un petit clin d’œil, se déchausse, s’installe à nouveau sur la banquette. Elle s’allonge, appuie la tête sur un accoudoir, remonte les jambes, les ouvre et nous invite à nous approcher. Elle caresse alors ses petites lèvres afin de les exciter, remonte jusqu’à son mont de venus parfaitement épilé, écarte lentement ses lèvres et nous laisse admirer une perle discrètement logée sur son clitoris.

Je me permets un sifflet d’admiration, prends ma femme par les épaules et l’incite à s’approcher de plus près.

— Magnifique. Ce n’est pas douloureux ?
— Non, pas du tout. Regardez, commente Christiane, la perle est fixée sur un clip. Pour l’installer, je m’assois confortablement, je prends le clip ouvert entre les doigts et je glisse la partie triangulaire sous le capuchon de mon clito. Ensuite, je referme doucement le clip. Comme cette zone n’est pas innervée, tout ceci est ...

... parfaitement indolore. Hélène, voudrais-tu essayer ?
— Désolé, ma chérie, mais les deux minutes sont écoulées. Ce sera pour une prochaine fois. Terminons notre jeu, si vous voulez bien.

Moins chanceux, Bernard perd cette fois sa chemise et se trouve, tout comme moi, uniquement en boxer.

Hélène perd et doit enlever sa jupe. Il ne lui reste que ses bottes…

Christiane, vengeresse, sort enfin un 111 ponctué d’un grand cri de joie.

— Bravo, ma chérie. Que nous réserves-tu comme gage ?
— Notre hôte semble bander comme un taureau, dans son boxer. Je demande qu’il se dévoile, afin que je vérifie si son sexe vaut le tien.

C’est bien de moi qu’il est question !

Mon honneur est en jeu…

— Mais, ma chère Christiane, vos désirs sont des ordres. À vous l’honneur de dévoiler mon intimité.

Christiane ne se fait pas prier et m’arrache le boxer sans ménagement, non sans me malmener le sexe en pleine érection.

— Bravo, quel courage, commente-t-elle, en me caressant délicatement la verge pour se faire pardonner la violence de son geste précédent.

Ses mains remontent le long de ma hampe et viennent me décalotter, laissant apparaître mon gland rouge et gonflé, une petite goutte de bonheur vient perler au bout de ma queue, goutte discrètement éliminée par la langue de Christiane.

Le contact de sa langue brûlante, bien que bref, augmente encore mon excitation et j’ai beaucoup de difficultés à feindre l’indifférence.

Hélène et Bernard nous observent, assis à côté ...