Une paire de bottes en cuir ... au débotté (suite ) - Histoires de Sexe

Une paire de bottes en cuir ... au débotté (suite )

Sur les conseils de nos amis, Christiane et Bernard, ma femme Hélène est donc allée, sans culotte, acheter cette paire de bottes en cuir noir, pour le plaisir partagé de la vendeuse et de ma femme. Sera-ce le déclic vers une vie sexuelle plus débridée ?

Nous avons donc invité Christiane et Bernard à venir prendre l’apéritif ce dimanche midi, afin d’arroser l’achat de la paire de bottes de cuir noir.

Hélène porte la même tenue que la veille, à savoir un chemisier blanc de soie, une jupe droite de couleur noire et les fameuses bottes dont dépasse une paire de bas en soie, autofixants, du plus bel effet.

Christiane porte une robe en laine, blanche sur le haut, noire sur le bas, et, bien entendu, sa paire de bottes de cuir noir qui avait tout déclenché lors de notre dernière rencontre. Sa robe lui moule admirablement le corps. Et j’ai l’impression que Christiane ne porte ni petite culotte ni soutien-gorge.

Bernard apporte une bouteille de champagne Dom Perignon qu’Hélène s’empresse d’aller mettre au frais à la cuisine, suivie par Christiane qui s’est proposée pour aider ma femme dans les préparatifs pour l’apéritif.

Nous nous retrouvons donc entre hommes, au salon.

— Alors, notre stratagème a marché ?
— Au delà de ce que j’espérais. Je me demande d’ailleurs si ce n’est pas dû au fait qu’il s’agissait d’une vendeuse, mignonne au demeurant. J’espère qu’Hélène ne s’est pas découvert des tendances saphiques
— Bah, si elle t’invite à te joindre à ses ébats, de ...

... quoi te plaindrais-tu ? Moi qui ai toujours rêvé de triolisme.
— Ne va donc pas si vite en besogne. Si Hélène a déjà pu se débloquer et se sentir plus libre, tu m’en verras ravi. Mais, dis-moi, tu m’excuseras d’avoir examiné ta femme, serait-elle nue sous sa robe ?
— Et cela te choque ?
— Point du tout. Mais comment va réagir Hélène ?
— Ne t’inquiète pas. Christiane est notre complice. Entre femmes, cela devrait bien se passer. Laisse-la prendre ta femme en mains, en tout bien tout honneur s’entend.

En attendant que ces dames reviennent de la cuisine, nous attaquons un 421, histoire de passer le temps.

Au bout d’un long moment, Hélène et Christiane reviennent de la cuisine, portant chacune un plateau avec champagne et whisky, ainsi qu’un assortiment de gâteaux salés chauds dont l’odeur nous titille les narines.

Profitant d’un instant où Hélène a le dos tourné, Christiane me glisse discrètement dans la poche… la petite culotte en dentelles de ma femme, tout en me gratifiant d’un clin d’œil complice.

Un premier toast est bien entendu porté aux bottes d’Hélène.

— Je vois que notre recommandation a porté ses fruits, s’exclame Bernard. Ces bottes te vont à merveille, chère Hélène, n’est ce pas ma chérie ?
— J’ai déjà eu l’occasion de la complimenter à la cuisine. Nous avons bavardé tout en préparant l’apéritif.
— Avez-vous négocié une belle remise avec le vendeur ?
— Hé bien, non. C’était en fait une vendeuse qui a assisté Hélène. Et ma femme était tellement ...