1. Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (11)


    Datte: 05/07/2020, Catégories: Erotique, Auteur: bobby29, Source: Xstory

    ... l’autre jour. Merde. Qu’est-ce qu’il fait ?
    
    7 heures 30. Je me suis rendormie. Je me dépêche. Je me dirige vers la crique. J’approche du promontoire, près du coude du chemin côtier. Je grimpe, je jette un œil en contrebas. Il y a déjà quelqu’un ! Quelqu’un qui nage, encore dans l’ombre. J’essaie de mieux distinguer. Mon dieu ! C’est Eleni. Elle est là, dans l’eau. Elle m’a précédée. Est-elle nue ? Je ne distingue pas bien. Non, elle a un maillot deux pièces. Là-bas, sur le chemin, à l’entrée de la faille, Adonis arrive ! Il descend. Il s’approche. Il va la voir. Il l’a sûrement déjà vue. Que va-t-il faire ?
    
    Adonis pêche. Il remonte ses filets. Eleni nage. Il s’affaire sur son rocher. Il jette à peine un regard de temps en temps dans sa direction. Elle s’approche. Il ramasse ses poissons dans sa besace. Elle est au pied du rocher. Il la regarde, maintenant. Immobile. Elle sort de l’eau. Ils sont là, sur le rocher, face à face dans la lumière naissante.
    
    Elle s’avance vers lui. Magnifique. Les mains d’Eleni se joignent dans son dos, elle dégrafe son soutien-gorge. Le tissu tombe sur le rocher. Ses seins blancs, ses tétons roses, éblouissants. Elle les lui offre ! Il la regarde. Interdit. Je devine à son attitude qu’il est subjugué. Elle est là. Elle est venue pour lui, pour le reprendre. En un seul geste, un seul regard, elle a déjà gagné.
    
    Eleni et Adonis nagent. Elle le tient par la main. Ils vont lentement. Ils s’approchent de la plateforme au fond de la crique. ...
    ... Elle se hisse la première. Il la suit. Ils se font face. Elle lui prend les mains. Sa bouche s’approche de celle de son homme. Oui, il est à elle maintenant. Ils s’embrassent. D’abord timidement. Puis Adonis l’enserre de ses longs bras puissants. Elle est là, blottie dans le creux de son épaule. Il sent ses petits seins nus, si doux, gonflés d’amour, contre son torse. Elle se laisse aller. Elle le sent, son homme, tout contre elle. Elle parcourt les muscles de son dos, caresse sa nuque, ses cheveux, redescend le long de sa colonne vertébrale… atteint ses fesses musclées qui réagissent. Elle le tient. Il est à elle. Elle la sent cette bosse qui durcit, grandit, dans son short de bain, contre son ventre à elle…
    
    Eleni s’accroupit. Elle s’assoit sur le rocher. Face à lui. Elle lui prend les mains. Lentement elle l’attire vers elle. Là. Entre ses genoux. Elle glisse. Elle s’allonge. Adonis. Son Adonis. Maintenant. Entre ses cuisses.
    
    Ils sont là, tout en bas. Nus sur le marbre blanc. Corps sublimes qui s’unissent, lentement, tendrement, amoureusement, pour la première fois. Je pleure. C’est beau. C’est triste. C’est fini. Je vais bientôt partir. Je les aime. Je les déteste. Je leur en veux. Je veux qu’ils soient heureux. Je veux encore les baiser. Je veux encore les regarder. Cette union parfaite. Adonis, qui lèche ses seins, son ventre, sa chatte… j’entends ses gémissements. J’entends tout. Je vois tout. Je suis là-bas sur le rocher, avec eux, près d’eux. Oui, Adonis, fais-la ...
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