Thèse à la grecque. L'étudiante et le pêcheur. (11)
Datte: 05/07/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: bobby29, Source: Xstory
... Sur le mien.
Je suis allée à la crique ce matin. Mais je n’ai pas voulu le laisser faire. Juste quelques caresses, quelques baisers. Nager ensemble. Sécher ensemble, nus sur le marbre, sous le soleil naissant. Nous étions bien.
Ca y est. J’entends ses pas. Reconnaissables entre tous. Elle vole. Pieds nus sur le chemin. Elle est la grâce absolue. Elle arrive ! Je l’attends sur la terrasse. Je lui saute dans les bras. Elle est là. Elle m’embrasse. A pleine bouche. Nos langues se dévorent. Elle rit. Tu es folle Julia. Oui. Oui. Je suis folle, folle de toi, folle de ta chatte, là sous mes doigts !
Elle rit. Elle se laisse faire, résiste un peu. Elle est magnifique. Je me bats avec son débardeur, son short. Ma main glisse sur son ventre, rencontre sa douce toison, joue, descend, débusque son petit soldat déjà bien réveillé… Me voilà ! J’arrive. Je sais que tu m’attends toi aussi. Tes seins sont nus, débardeur retroussé, soutien-gorge dégrafé. Mon visage entier fond entre tes deux beaux mamelons clairs. Je les embrasse. Les lèche. Les suçote. Tu es ma petite femme, ma petite chatte, ma déesse, je t’ai déflorée, tu n’as connu que moi, tu es une merveille, je te veux, maintenant, là, et encore, encore…
Eleni m’offre son cul divin. A quatre pattes, sur la terrasse. Je titille son petit trou de ma langue experte, puis je descends, entre ses cuisses. Je reviens. J’embrasse ses collines blanches, tendrement, goulument, voracement. Je la lèche, je la croque. Mes mains claquent ...
... gentiment ses chairs. Elle aime. Elle gémit. Son cul. Son cul !
Adonis. Oui. Te voilà. Je sais que tu es là, dans le jardin. Tu nous mates ? Vas-y. Regarde ce corps parfait que je lèche si entièrement. Que ne l’as-tu pas fait avant ? Vois-tu comme elle aime ce que je lui fais ? Sauras-tu en faire autant ? Regarde ses seins qui pendent, ils paraissent si lourds comme cela, si aériens quand elle se tient debout. Regarde, je les tiens dans mes mains. Ils sont tellement doux. Ils sont à moi, je les masse, les caresse, je pince ses tétons, elle gémit ! Ma langue lèche son épine dorsale, elle se cambre de plaisir. Je poursuis entre ses fesses blanches. Elle n’en peut plus. Elle me supplie. Elle me veut. En elle. Mes doigts, je les fais courir le long de sa raie…. Ils se posent. Poussent doucement. Pénètrent. Elle s’ouvre. Elle aime. Comme moi. Tu le savais ? Toi aussi tu vas aimer. Elle est là, je lèche sa croupe, son con. Je masse son intérieur. Regarde mon petit bâton rose. Il est mignon, n’est-ce pas ? Je l’approche. Elle l’a reconnu. Elle rit. Elle crie si joliment. Oui. Elle adore. Mon petit soldat qui vrille son minou. Qui rend fou son bouton d’amour. Qui joue à touche-touche dans son vestibule. Qui s’enfonce, s’attarde sur ses parois, là où je sais, là où elle vibre de tout son corps. J’insiste, je la laisse respirer, je reviens, la jouissance enfle en elle. Mes doigts caressent l’intérieur de son si joli petit cul, sentent les vibrations de son vagin. Elle se contracte, ...