Histoire de Soumise-à-lui (1) - Histoires de Sexe

Histoire de Soumise-à-lui (1)

... Sa part de masochisme se réveillait en elle, cela commençait à lui plaire vraiment.

Doucement elle entre ouvrit sa porte, retira son peignoir le rangea sur le portemanteau dans la salle de bain, revint dans le salon au pied du canapé et se mit dans la position demandée

Il lui sembla que l’attente fût longue, ses genoux commençaient à lui faire mal, elle s’assit sur ses pieds, tête dans ses mains. C’est là qu’il rentra ! Une grande gifle la fit basculer sur le côté

— Ce n’est pas comme cela que je t’ai dit de m’attendre !! Cri a-t-il, une seconde gifle, qui sembla plus forte à la soumise, lui arriva en plein visage ce qui la fît tomber.

— Relève-toi salope, en position !!

La soumise se remit dans la position demandée, tout en baissant les yeux, n’osant regarder l’homme qui lui donnait ces ordres, elle ne savait pas encore si c’était le même homme gentil et chaleureux qu’elle avait senti lors de leur discussion sur le net, ainsi qu’en cam il y a quelques minutes.

— C’est bien tu comprends vite et obéis bien. Lève-toi maintenant que je te regarde et tiens-toi droite !

La soumise se releva, osa lever enfin les yeux, elle reconnut l’homme de la cam.

Le maître tourna autour d’elle, l’examina sur toutes les facettes de son corps, levant un sein, caressant une fesse, introduisant un doigt dans son con.

— Tu es chaude ma salope, tu mouilles !!

Il lui m’y le doigt devant la bouche, elle suça avec plaisir ce doigt qui sentait sa cyprine.

— Tu es une ...

... sacrée, chienne. Tu as un corps qui appelle le mâle, le sexe, petite pute !! Ce soir je vais t’envoyer un message, si tu y réponds c’est que tu acceptes d’être ma soumise, tu m’appelleras donc maître, si tu ne réponds pas nous en resterons là.

L’homme se leva et partit.

La soumise resta un moment sur place, hébétée, groggy.

Elle se ressaisit, alla mettre son peignoir, s’affaira chez elle, tout en regrettant que le maître ne l’ait pas prise, elle aurait aimé qu’il la baise, rien qu’en pensant à cela elle se sentait mouiller.

Toute la soirée elle pensa à ce que lui avait dit le maître, allait-elle accepter ou non cette soumission ?

Rien que de penser à ce que cela allait entrainer comme changement pour elle, sa cyprine dégoulinait de sa chatte.

Au fond d’elle, elle avait sût dès le maître parti, qu’elle allait accepter ce défi, comme quand elle était enfant au jeu du « cap, pas cap » elle était toujours cap !!

Le soir venu, elle attendit avec impatience le message du maître. A chaque sonnerie de notification de son téléphone ou de son ordinateur elle sursautait, le cœur battant la chamade ; cela lui plaisait et faisait monter le plaisir en elle, ce qui ne lui était pas arrivé depuis longtemps, en fait depuis le décès de son dernier compagnon et amant, trois ans auparavant.

Enfin le message tant attendu arriva

— Alors salope as-tu pris ta décision

— Oui maître, répondit-elle

— Tu vas donc être ma soumise, m’obéir en tout point au risque que si ...