1. Jade nymphomane soumise


    Datte: 03/07/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Anal Auteur: tirkhard, Source: xHamster

    ... !
    
    — Tu l’as senti passer, salope ! Attends, tu vas voir. Je vais te dérouiller.
    
    Il me la met en entier, ressortant totalement à chaque coup de reins. Il me percute de toutes ses forces. Je lutte en gémissant pour tenir la position, mais dès qu’il augmente le rythme c’est trop fort pour moi et je me retrouve couchée sur le ventre après un coup de reins mémorable. Il enfonce immédiatement une main dans mes cheveux et tire dessus pour me forcer à me remettre en place, prenant à peine le temps de ralentir avant de reprendre son entreprise de destruction.
    
    Rapidement, il ne se contente plus de s’occuper seulement de ma chatte et tout en me limant il enfonce ses pouces dans ma rondelle, m’arrachant un grondement avant de tirer dessus.
    
    — Tu as un vrai cul de chienne. Je vais prendre mon pied à te le ramoner.
    
    — Tu la sens bien ma queue. C’est pas celle de ton cocu.
    
    — Je vais faire de toi ma soumise, mon vide couille. Tu pourras plus te passer de ma queue.
    
    Pour ne pas gicler trop vite, il fait des pauses qui me laissent pantelante et immobile. Je suis son jouet sous ses assauts et j’adore ça. Lors de l’une d’elles, il se saisit du vibro qu’il me plante dans le cul sans me prévenir. Avec une préparation aussi minime, je pousse un hurlement de surprise.
    
    — Ah ! Putain !
    
    — Couine, sale chienne. Couine !
    
    Il se met à tirer sur ma laisse pendant qu’il se lance dans un ramonage anal. Je n’arrête pas de crier et de gémir, partagée entre plaisir et douleur ...
    ... extrême.
    
    JL finit par me le sangler dans le cul avant de présenter sa queue devant ma chatte pour me prendre en double. À partir de cet instant, il se montre encore plus a****l. Il me pénètre sans coup férir en me crochetant la bouche avec plusieurs doigts pour bien me tirer et me limer comme un furieux. Je beugle comme une démente sous ses assauts, ma salive s’écoule sans discontinuer.
    
    Après un moment qui me parait interminable, il sort de moi et se penche pour se saisir de la barre d’entrave. Il tire dessus me faisant glisser du lit pour me traîner sur la moquette jusqu’à la salle de bain.
    
    Une fois là-bas, il me décolle du carrelage froid en me tirant par les cheveux pour m’enfoncer la tête dans les toilettes avant de me reprendre en double.
    
    — Tu n’es qu’une sale truie ! Une serpillière à queue !
    
    Il me pilonne comme un furieux et moi je reprends mes gémissements malgré ma position dégradante.
    
    Je pensais qu’il avait atteint le sommet de sa perversion, mais je me trompais. Après être sorti de moi, je le vois se saisir du balai des toilettes dont je sens les picots se présenter devant ma chatte. Je reste paralysée. Je hurle durant son intronisation, je le supplie d’arrêter, mais il ne m’écoute pas.
    
    — Tu veux que j’arrête, alors dis-le, dis-le ! Dis ton mot de sécurité et j’arrête et tu pars.
    
    J’hésite longuement. Même pour moi c’est extrême, mais finalement je ne le dis pas, me contentant de le supplier, ce qui l’excite encore plus, grisé par mon abandon total à ...
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