1. Ma petite Thaï


    Datte: 03/07/2020, Catégories: fh, asie, prost, amour, odeurs, Oral pénétratio, policier, Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe

    ... s’emparait peu à peu de moi. J’eus toutes les peines du monde à cacher mon émoi, le jour où, alors que j’écartais une mèche de cheveux pour admirer une nouvelle fois son minois, elle dit tout haut, une lueur triste dans le regard :
    
    — Je crois, le Français, que tu es tombé amoureux de moi.
    
    Je dus me forcer à garder un sourire niais pour que mon stratagème ne soit pas découvert. Lors d’une autre visite, alors que je caressais son ventre avec sensualité, elle murmura :
    
    — Tu sais, le Français, je crois que moi aussi j’en pince pour toi… S’il n’y avait pas ce salaud de Tchang-Ping, tu serais à moi toute seule.
    
    Cette simple phrase me valut quelques nuits d’insomnie. Je profitais de mon temps libre pour mettre au point des dizaines de plans tous plus utopiques les uns que les autres, pour arracher Li-Tao des griffes de cet ignoble maquereau de Tchang-Ping. Puis, environ trois mois après la première visite de ma petite Thaï, alors qu’elle venait d’habiller ma verge d’un préservatif, j’attirai son visage vers le mien et posai ma bouche sur la sienne. Elle tenta de se dégager, mais je la retins fermement et, sans aucune retenue, l’embrassai à pleine bouche. Sa résistance fut de courte durée, elle s’abandonna bien vite. Je l’embrassai avec fébrilité et passion. Nos langues se cherchèrent et se trouvèrent, déchaînant ainsi notre fougue. Lorsque je m’écartai d’elle, un large sourire éclairait son visage, mais de grosses larmes coulaient sur ses joues. Je les cueillis une à ...
    ... une de la pointe de ma langue tendue. En souriant de plus belle, Li-Tao enleva le préservatif de mon sexe et le jeta à terre. Elle guida mon pénis vers la fourche de ses cuisses. Nous fîmes d’abord l’amour avec douceur et sensualité, la jeune asiatique faisant onduler son corps sous moi en vagues voluptueuses. Puis, peu à peu, nous laissâmes nos sens se déchaîner. Son orgasme fut sauvage et lui arracha un cri aigu que je n’oublierai jamais. L’instant d’après, je succombai et répandis mon plaisir au fond de son ventre brûlant d’amour. Nous restâmes un long moment immobiles, couverts de sueur. Bien sûr, à partir de ce jour, rien ne fut plus pareil, je passais de l’état de client à celui d’amant, même si à chaque visite, je la payais.
    
    La fois suivante, j’eus l’occasion de déguster sa liqueur de femme. Après l’incontournable séance de la pose du préservatif, nous nous embrassâmes longuement, avec passion, puis, je parcourus son corps de ma bouche et de mes mains. La fourche de ses cuisses était déjà perlée de son désir et, avec tendresse, j’embrassai sa minette comme si c’était une bouche. Ses soupirs, ses gémissements, son cri au moment de l’orgasme étaient le plus merveilleux chant d’amour. Les sirènes qui tentaient d’attirer Ulysse pouvaient aller se rhabiller !
    
    Quelques temps plus tard, à l’occasion d’une visite, avant de passer dans la chambre, Li-Tao interpella Nora et lui parla. Bien que je n’eus aucun mal à la comprendre, je laissai ma domestique traduire. Les patrons ...
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