Ma petite Thaï
Datte: 03/07/2020,
Catégories:
fh,
asie,
prost,
amour,
odeurs,
Oral
pénétratio,
policier,
Auteur: Jean-Marc Manenti, Source: Revebebe
Être détenteur d’un vilain secret, ça peut être dangereux pour sa propre personne. Cependant, plus il est sordide, plus le pouvoir que l’on peut en tirer est grand, ce qui peut s’avérer très utile dans certaines situations. Détenir un secret peut aussi aider à se tirer d’un mauvais pas, surtout si les infos en notre possession mettent en cause des gens connus, voire célèbres pour une raison X.
C’est d’ailleurs un de ces lourds secrets qui m’a conduit ici, en Thaïlande. Remarquez, c’est moi qui ai choisi la destination. Je devenais encombrant, alors, un groupe d’hommes en costume cravate, du genre qui passent à la télé de temps en temps pour débiter leurs bobards et dire qu’ils oeuvrent pour le bien du pays, m’a fait comprendre que je devais quitter l’Hexagone. Je précise que je travaillais pour ces gens-là, des boulots pas très reluisants d’ailleurs, qui m’ont mené aux quatre coins du monde, surtout en Afrique Noire, en Amérique du Sud, en Croatie ou en Serbie. Les menaces étaient à peine déguisées, mais je m’en suis tiré avec une bonne rente mensuelle "aux frais de la Princesse", assorti d’un billet d’avion pour Bangkok. Croyez-moi, jusqu’à la veille de mon départ, je me suis retourné souvent quand je marchais, j’ai tout surveillé, ma voiture, ma boîte aux lettres, ce que je consommais, les colis que je recevais. Maintenant que je suis loin de Paris, je me décrispe, sans toutefois relâcher ma vigilance… On ne sait jamais !
Mon boulot de baroudeur m’avait aussi souvent ...
... mené en Asie et, pour plus de facilité, j’avais fait l’immense effort d’apprendre quelques dialectes. Pour ne pas sombrer dans l’oisiveté la plus totale, je travaillais donc officieusement comme traducteur pour l’Ambassade de France ainsi que pour quelques grosses sociétés francophones. Je me savais surveillé, mais moins en danger qu’en France. Le reste du temps, je le consacrais au sport, à la gastronomie locale. Je lisais beaucoup et, bien entendu, me tenais au courant de ce qui se passait dans le reste du monde, surtout en France.
Si j’avais jeté mon dévolu sur la Thaïlande, c’est parce que j’ai un fort penchant pour les filles asiatiques. Bien entendu, j’allais de temps à autre au bordel, histoire de me nettoyer l’esprit. Vu les sommes qu’on me versait et le coût de la vie, j’y allais souvent. Je me laissais aller aux délices des massages et de l’amour tarifé avec de jolies filles aux yeux bridés.
Jusqu’au jour où, pendant un déjeuner de travail avec le patron de la filiale d’une entreprise française, alors que la conversation glissait de plus en plus vers le sexe, ce dernier m’indiqua qu’il existait des maisons où on pouvait choisir une fille sur catalogue. Il en sortit un exemplaire de sa serviette de cuir et le soir même, je fis mon choix, parmi une quarantaine de jolies thaïlandaises sur papier glacé. La fille s’appelait Li-Tao, âgée de 22 ans. Elle était, sur la photo, vêtue d’un minuscule bikini. Comme convenu par téléphone avec un type à la voix nasillarde, ...