1. Une éducation particulière (3)


    Datte: 02/07/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: raph&clem, Source: Xstory

    ... son appartement. Après s’être assurée qu’elle était seule, ses pensées revinrent vers l’objectif malsain qui saturait son esprit depuis quelques jours maintenant. Bille en tête, elle monta les escaliers quatre à quatre puis pénétra dans la chambre de Clément. Là, elle ne put s’empêcher d’émettre un grognement mental à la vue du capharnaüm qui régnait. Mais son but initial lui revint très rapidement et elle chercha dans toutes les cachettes possibles : sous le matelas, sous le lit, sous les oreillers, dans la commode et dans divers recoins de ce désordre. A sa grande surprise, elle ne trouva rien. Non seulement les culottes étaient désespérément absentes mais, en plus, il n’y avait aucune trace d’éventuel plaisir solitaire. Cette absence de découverte la rassura pendant de brèves secondes, peut-être que toutes ses suppositions audacieuses avaient été la suite de son excitation du week-end et que son fils se comportait comme un saint et avait simplement rangé ou directement lavé les culottes errantes.
    
    Toutefois, ce bref répit fut suivi d’une vive déception que son intellect surmonta en laissant la boîte des questions immorales entrouverte. Elle fouilla donc frénétiquement dans ses propres affaires afin d’écarter l’hypothèse de la candeur de son fils puis, ne trouvant rien non plus, elle remit à plus tard ses recherches et se dirigea vers la salle de bain afin d’y prendre sa douche. Une fois déshabillée, et alors qu’elle ouvrait la panière pour y jeter sa tenue, elle eut ...
    ... l’idée de reprendre sa fouille en désespoir de cause. Quelle ne fut pas sa stupeur lorsqu’elle découvrit son tanga écru et sa culotte noire littéralement méconnaissables : le tissu était complètement froissé et les deux sous-vêtements étaient comme pétrifiés. En détective hors pair, Raphaëlle comprit sur le champ que cette rigidité était due à une quantité phénoménale de foutre séché. Ainsi donc Clément s’était branlé à répétition dans les présents maternels. Bien qu’une partie de sa psyché l’eut ardemment désiré, elle resta interdite et comme stupéfaite devant cet acharnement lubrique.
    
    Mais une fois encore – et cela lui permit de ne pas vaciller totalement – rien ne prouvait concrètement que Clément l’avait prise pour cible de ses fantasmes.
    
    La main curieuse fouilla avec une insistance redoublée dans le terrible panier jusqu’à saisir la fatidique culotte prune. Ce fut la grande révélation. L’objet du piège le plus redoutable qu’elle avait conçu était également souillé en plusieurs endroits. L’effarante différence par rapport aux deux premières culottes résidait à la fois dans la signification sans équivoque – Clément se masturbait en pensant à elle, à son odeur – mais aussi dans le fait que les souillures du dessous prune étaient encore fraîches.
    
    En quelques instants seulement, la vie intérieure de Raphaëlle fut mise à sac selon la séquence suivante : un sentiment de fierté à la fois maternel et narcissique la saisit tout d’abord – Clément la trouvait excitante et ...
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