Une éducation particulière (3)
Datte: 02/07/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: raph&clem, Source: Xstory
... Afin de ne pas être interrompu au moment crucial, il eut la présence d’esprit d’ouvrir sa porte et de lancer à la cantonade :
— bonne nuit maman, je suis mort, je me couche.
— Bonne nuit mon chéri, fais de beaux rêves, entendit-il en écho.
Sans plus tarder, il commença son affaire. L’odeur était délicieusement âcre, elle symbolisait le contact avec cette chatte interdite et inconnue. Instinctivement, il mit la culotte sur sa tête, de sorte qu’il sentit l’entrejambe moite de sa maman. La branlette avait déjà commencé bon train et, dans cette effervescence joyeuse, il s’enhardit davantage. Sa langue dépassa bientôt d’entre ses lèvres adolescentes pour venir lécher le tissu souillé des pertes de sa mère. C’était trop grand pour lui, il manqua de défaillir, dut s’appuyer contre sa commode et lança cinq grands jets de foutre qui vinrent s’écraser sur le sol dans un bruit mat, comme le plus bel hommage œdipien qui soit. La culotte maintenant trempée de salive rejoignit bien vite ses copines sous l’oreiller de la dépravation. Le lendemain matin, après une nuit agitée, Clément se résolut à contre cœur de se séparer de son trésor – certaines culottes ayant dormi avec lui depuis presque une semaine. Il ne voulait pas que son petit manège soit découvert et que cela nuise aux nombreux plaisirs à venir.
Il replaça donc les culottes maculées au milieu du linge sale et partit tranquillement pour le lycée.
***
Ce même jeudi, Raphaëlle rentra plus tôt qu’à l’accoutumé. Son ...
... enquête ambiguë lui avait donnée une sorte d’énergie sauvage. En effet, elle avait constaté avec effroi mais non sans plaisir coupable, la disparition de ses sous-vêtements. Sur un point il n’y avait plus de doute possible, Clément avait subtilisé les appâts que sa mère avait semés avec malice. Si Raphaëlle s’était d’abord inquiétée lors de sa première tentative, elle avait vite compris que l’hésitation de son fils vis-à-vis de la culotte noire n’était qu’un effet d’une prudence qu’elle avait su déjouer en insistant subtilement. Le plaisir qu’elle avait éprouvé, et qui avait participé de son activité masturbatoire renaissante, était à la fois permis par la confirmation de la perversité de Clément mais aussi par les incertitudes restantes qui étouffaient quelque peu sa culpabilité maternelle. Certes, son fils avait volé les culottes mais, les premières étant propres, il était possible d’imaginer que le jeune garçon les utilisait simplement comme des attributs de la féminité et que ses pensées n’étaient pas aimantées par leur propriétaire.
« En définitive, se disait-elle, peut-être ne pense-t-il pas vraiment à moi ? ». C’est bien ce premier doute qui la poussa à franchir le cap suivant en offrant une culotte sale. De plus, mais cela relevait sans doute d’une naïveté aveugle, elle n’avait constaté que la « disparition » de ses appâts et elle laissait ouverte la question de leur utilisation.
C’est donc avec une excitation prononcée, teintée d’inquiétude, qu’elle entra dans ...