1. "Best of" des phrases douteuses #7


    Datte: 02/07/2020, Catégories: nonéro, Humour perles, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... gonflées, une dans chaque trou, oui, vas-y pine moi bien, j’en veux, bien grosses, bien vicieuses, fuck, pour me baiser comme une grosse cochonne, aah, tu me fais jouir salaud, oui, la moule et le cul, aah, le cul, il te fait bander mon gros cul, baise moi, vas-y, gicle, gicle sur mon cul, karcherise-moi la rondelle, aahh, oui ton foutre sur mon cul de baiseuse, aaaah, oui c’est trop bon !
    
    Son sang ne fit qu’un tour et son sexe se redressa tout d’un coup.
    
    Il sentit de nouveau son membre durcir dans son short et il s’allongea sur le ventre pour cacher son érection à sa femme.
    
    Pablo fut réveillé le lendemain matin par la sonnerie de son téléphone portable. À l’autre bout du fil, sa belle-mère.
    
    Il la sentit frissonner tandis qu’il faisait glisser les fines bretelles de sa robe, qui tomba sur le sol dans un bruit sourd.
    
    Ma belle-mère me fait revenir sur terre en nous appelant pour manger.
    
    Je crois qu’il est temps de préciser ici la raison de mes relations privilégiées avec Marina et du consentement sans ambiguïté de ma femme.
    
    — Dis donc, tu veux m’enivrer ?
    — Pourquoi pas ? Bois, je pense que ça ira mieux ensuite.
    
    Je pouvais enfin laisser ma langue aller sur ses orteils vernis, éviter les lanières de cuirs pour passer sur sa peau si douce et ma queue qui s’activait doucement.
    
    Je voyais qu’elle approchait de l’instant le plus impressionnant chez elle, l’orgasme.
    
    Bien qu’il la domine de vingt bons centimètres, elle lui faisait peur
    
    Voulant éviter ...
    ... de se faire remarquer, Olivier se secoua.
    
    Je m’empare de tes fesses avec mes deux mains.
    
    Tu me pousses trop loin ! Je te dis d’arrêter, tu refuses sans un mot.
    
    Elle me prend la tête pour m’attirer vers elle.
    
    Il avait l’impression d’être un bouc en rut qui culbutait sa femelle.
    
    En effet, je suis dotée d’un système pileux surabondant. […] Par chance, je n’ai pas de moustache.
    
    J’entends la porte la porte d’entrée se refermer et je retrouve seule dans la cuisine.
    
    On sonne. C’est elle. J’ouvre, l’attrape par le bras, la tire à l’intérieur. Je referme, la plaque sur la porte.
    
    Mais une chose est sûre c’était bien une femme.
    
    Depuis quelques mois notre vie sexuelle a complètement changé. En effet, Océane a rencontré Véronique, l’institutrice de notre fille.
    
    — Est-ce que je tu es dis que tu es belle, aujourd’hui ?
    — Non mais que t’arrive t’il ? T’es en rut ou quoi ?
    
    Je l’ai embrassé dans le cou, caresse qui l’a toujours fait craquer. À cet instant, j’ai sentis qu’elle se laissait aller.
    
    — Tu sais, j’ai eu envie de toi toute la journée. Cet après-midi, sur le télésiège, je m’imaginais que tu me léchais. J’en ai mouillé toute la journée.
    — Tu déconnes.
    — Non ! Regarde mon string.
    
    Il y avait comme un froid entre nous, heureusement Véronique avait acheté quelques bouteilles d’alcool.
    
    Tout seul coup, un petit cri lui échappe. Elle vient de jouir.
    
    Je mis la table et prépara le repas, que je leur servit.
    
    On en vient à parler de sexe au moment ...