1. "Best of" des phrases douteuses #7


    Datte: 02/07/2020, Catégories: nonéro, Humour perles, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... bouche, l’obligeant à m’ouvrir encore plus grand sa petite bouche.
    
    Je lui attrape les fesses avec mes mains.
    
    Je la pénètre sauvagement jusqu’à la faire jouir. J’adore l’entendre jouir et, à mon tour, je jouis.
    
    La jeune femme finit par prendre son plaisir dans un râle. […] La jeune femme râlait de plus en plus fort, et après quelques va-et-vient elle finit par jouir. […] Tant de caresses firent à nouveau jouir la jeune femme. […] Une fois encore, la jeune femme ne put retenir une explosion de jouissance. […] et dans un dernier sursaut ils jouirent ensemble dans une communion parfaite.
    
    Le 69 ! Voila une position qui me donne énormément d’excitation.
    
    Je regardais par le judas pour me rendre compte de qui avait pu sonner si tardivement : Personne. J’ouvris la porte et un homme se présenta aussitôt devant moi.
    
    A cet instant précis, sans vraiment savoir pourquoi, je suis allé chercher mon appareil photo.
    
    Il travailla son petit orifice avec son gros pouce.
    
    Septique, la jeune femme prend les chaussures.
    
    Elle me caresse simultanément les cuisses, le sexe, les fesses, le torse, les testicules.
    
    — Qu’est-ce qu’il y a Trésor, as-tu un problème ?
    — Oui, il se fait sentir dans mon pantalon !
    
    Et je colle ma bouche à la tienne mais pas pour longtemps, le manque d’air nous oblige à se dégager un peu.
    
    Tu déboutonnes ma chemise bouton par bouton.
    
    Eh oui ! Nous ne sommes que des humains !
    
    Richard a chaud, eh oui.
    
    Richard se demande si cette femme est ...
    ... gracieuse et maniérée de manière naturelle.
    
    Son cerveau galope.
    
    Célia se redresse, s’assoit, attrape ses pieds et ses chevilles puis remonte langoureusement sur ses mollets, ses genoux, le haut de ses cuisses.
    
    Non, dormir c’est mourir !
    
    Il se retourne sur le dos, elle le chevauche ondule du bassin, monte et descend le long du vit, ça y est, comme c’est bon, ils jouissent en même temps.
    
    Ils sont tous les deux envoûtés par ce moment d’extase et jouissent en même temps, avant de s’arrêter.
    
    J’attrapais ses seins avec mes mains.
    
    Lorsqu’elle m’a senti assez dur à son goût, elle a fait plusieurs fois le tour de mon gland décalotté avec une langue des plus coquines, je dois l’avouer. […] Dès que ma bite fut assez dure à son goût, […] elle passa pendant quelques secondes sa langue tout autour de mon gland.
    
    Je passai ma langue le long de la braguette de son short en jean.
    
    — Oui j’aime la bite, mon lapin, prends bien ta petite femelle, vas-y, bourre-moi bien, fais du bien à ma belle chatte…
    — Les coups de queue, c’est ça que tu aimes, hein ?
    — Oui, baise, j’aime la bite, partout, vas y, ramone-moi bien la chatte, elle est pour toi, pour ta bite, elle aime ça !
    — Je te la mets comme à une grosse salope, tu en veux hein, des gros glands baveux qui giclent ?
    — Oui, j’en veux, oui, défonce bien la moule de ta salope, ah, oui, bourre ta femelle en chaleur, salaud, elle est bonne ta pine !
    — Aaah, oui, oui, deux bites qui me bourrent en même temps, deux queues ...