1. La plage


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, vacances, plage, fsoumise, hdomine, nopéné, extraconj, bourge, Auteur: Sergefra, Source: Revebebe

    ... terre et court jusqu’à l’océan pour y tremper les pieds. Nous nous installons, pas loin d’un homme endormi ! J’étale ma serviette, enlève ma robe légère et me retrouve en bikini, noir, classique. Il est moins sage que ceux que j’ai l’habitude de mettre les autres années. Ces dernières semaines, j’ai appris à aimer mon corps ! Pierre est surpris et me complimente.
    
    — Maman, papa, l’eau est super bonne !
    — Il va falloir attendre un peu avant que nous y allions, répond son père !
    
    Antoine s’assoit dans le sable et commence à creuser un trou avec ses deux mains !
    
    Je suis allongée sur le dos et…
    
    C’est pas vrai ! Que fait-il là ? Ce ne peut pas être le hasard ! Comment sait-il que je suis dans cette station ? Comment m’a-t-il retrouvée ?
    
    J’ai envie de lui, instantanément, malgré toutes les promesses que je me suis faites depuis son dernier baiser. Il faut qu’il me voie !
    
    Pour attirer son attention, je demande un peu trop fort :
    
    — Pierre, tu devrais mettre de la crème dans le dos d’Antoine, il rougit ! Et tu m’en passeras ensuite sur le dos !
    
    Il me voit, il me regarde, il me magnétise. Il s’assoit et se passe de la crème. Je ne peux pas me détacher de lui ! Il me sourit, je lui réponds ! J’ai envie de ses mains sur moi. Lui reste les yeux posés sur moi. Je sens mes seins se tendre.
    
    Je m’allonge sur le ventre, dégrafe mon soutien-gorge et me cambre pour qu’il puisse voir comme ils sont tendus ! Je me positionne plus correctement.
    
    — Pierre, tu as fini avec ...
    ... le petit ? Tu m’en mets dans le dos ?
    
    Je devine la surprise de mon mari : c’est la première fois que je défais le haut de mon maillot sur une plage !
    
    Mon imagination, sous le regard intense de Paul, permute le propriétaire des mains qui m’enduisent de crème, c’est lui qui me caresse le dos, ses effleurements ne sont pas dus à la timidité ou à l’émotion, mais au désir de me donner des sensations fortes. Je repense soudain à sa façon de me regarder être prise par ce sexe anonyme, la poitrine malaxée par ces mains, le plaisir que j’avais à me livrer ainsi sous ses yeux.
    
    — Pierre, ça te choquerait si je bronzais seins nus aujourd’hui ?
    — Devant le gosse ?
    — Emmène-le s’inscrire au club et il va retrouver certainement plein d’amis de l’an passé !
    
    J’ajoute, m’adressant au petit :
    
    — Tu veux Antoine ?
    — Oui, si Papa reste avec moi pour me regarder !
    
    Pas enchanté le papa !
    
    — Mais vas-y, lui dis-je avant de susurrer : et ce soir, tu auras une belle surprise !
    — OK !
    
    J’ai deux heures devant moi… devant nous !
    
    Je me tourne vers mon maître dès qu’ils ont dépassé le petit cap qui sépare la crique des autres…
    
    — Comment m’as-tu retrouvée ?
    
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    Florence l’effrontée a renvoyé son mari sans état d’âme. Elle est à moi pour deux heures. Je me rapproche d’elle !
    
    — Je te désire tellement que je te retrouverais n’importe où tu voudrais te cacher ! Ce qui m’excite en toi, c’est le contraste entre l’épouse bourgeoise parfaite à la ...
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