1. La plage


    Datte: 02/07/2020, Catégories: fh, vacances, plage, fsoumise, hdomine, nopéné, extraconj, bourge, Auteur: Sergefra, Source: Revebebe

    ... les criques. Le vent me rafraîchit de la chaleur du soleil, l’air sent la mer, les couleurs vives font du paysage un tableau vivant à peindre. Je m’approche du bord de la première crique en roulant : des adolescents bruyants l’occupent.
    
    Je continue ma route et découvre la suivante : quelques couples avec enfants. Je pose ma bicyclette et descends les marches sauvages. Pas de trace de ma blonde, il est 13 h 30, peut-être attend-elle un soleil plus clément ? Je me dis que jamais je ne la retrouverais, mais que je me consolerai avec la jolie métisse. Je décide de dérouler ma serviette dans un endroit tranquille, un peu à l’écart et je m’assoupis rapidement à la lecture du journal. La brûlure du soleil me réveille, je me tourne vers mon sac pour attraper un tube de crème et soudain je la vois et l’entends :
    
    — Pierre, tu devrais mettre de la crème dans le dos d’Antoine, il rougit, et tu m’en passeras ensuite !
    
    Je la regarde, elle est magnifique presque nue, d’une blondeur presque nordique, le corps habillé d’un tout petit deux-pièces noir classique. J’ouvre le tube et me couvre de crème.
    
    — Pierre, tu as fini avec le petit ? Tu m’en mets dans le dos ?
    
    Elle se rallonge sur le ventre, le visage toujours tourné vers moi ! Elle passe ses mains dans le dos et dégrafe son soutien-gorge pour lui faciliter la tâche. Ses seins magnifiques se redressent quand elle se cambre. Elle me fixe dans les yeux et je me prends à imaginer ses mains, sur moi, m’enduire de crème. Son mari ...
    ... tout à sa tâche, le regard baissé vers son dos, ne remarque pas son sourire qui s’agrandit et sa bouche qui s’ouvre sur une promesse de plaisir.
    
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    Mon mari, mon fils et moi avançons main dans la main pour notre première baignade de l’année.
    
    Comme chaque année, nous venons passer quinze jours dans la résidence secondaire de mes beaux-parents, dans cette station balnéaire. Je suis heureuse d’être sortie de la torpeur parisienne de cet été caniculaire. Ces quelques derniers jours ont été éprouvants : il fallait que je m’éloigne au plus vite.
    
    J’ai rejeté tous les appels de mon amant depuis la dernière soirée où il m’a emmenée dans un club libertin ; une soirée spéciale où j’ai frôlé la correctionnelle en y faisant l’amour, soit avec mon mari, soit avec mon beau-père ! Pendant ces quelques jours, je n’ai cessé de penser à découvrir qui m’a pénétrée et donné tant de plaisir sous l’œil de mon amant et maître de jeu ! J’ai lancé quelques remarques pour surprendre des réactions de l’un ou de l’autre, mais sans succès ! Si c’est mon beau-père, je n’oserais plus le regarder en face ! Si c’est mon mari, c’est un sacré salaud, lui qui me touche à peine quand on fait l’amour, toujours en missionnaire et toujours dans le noir !
    
    Nous avons notre crique ! Enfin, nous venons toujours dans celle-ci, car elle est plus calme que la première et assez près du club pour Antoine. Aujourd’hui, dès que nous arrivons, Antoine, notre fils, jette ses affaires à ...
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