Les Amazones
Datte: 01/07/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
asie,
Oral
Partouze / Groupe
fsodo,
historique,
aventure,
Auteur: André 59, Source: Revebebe
... enfants, elles doivent attaquer un autre peuple, n’importe lequel. Elles prennent les pères parmi les prisonniers. Elles choisissent ceux qui se sont montré les plus courageux au combat, en particulier les blessés. Une fois l’enfant conçu, l’homme est libéré et emporte le nourrisson si c’est un garçon. Si c’est une fille, elle restera avec sa mère. Après une telle bataille, il y aura beaucoup d’enfants, crois-moi. Elles ont apprécié votre combativité.
— Mais qu’ai-je à voir avec elle ?
— Tu ne te souviens de rien ? C’est toi qui lui a infligé cette blessure. Au seuil de la mort, tu as fait mordre la poussière à la reine des Amazones. Combattre jusqu’au bout plutôt que d’avouer ta défaite, voilà ce qui t’a sauvé la vie. Aux yeux de ces femmes, tu es digne d’engendrer une enfant de sang royal.
— Incroyable. Cela dépasse l’entendement. Croit-elle que je suis un étalon ?
— Absolument. Elle t’a envoyé une de ses meilleures guerrières pour tester tes capacités. Visiblement, tu as comblé toutes les attentes.
La reine reprit la parole, le prince scythe l’écoutait avec attention.
— Elle se remet de sa blessure. Dans quelques semaines elle sera prête à concevoir un enfant avec toi. D’ici là, tu attendras et devras honorer toutes celles qui viendront te voir.
— On pourrait imaginer pire comme servitude. Mais je suis ravalé au rang d’esclave.
— C’est la loi de la guerre. Accepte ton sort. D’ailleurs tu seras libre de tes mouvements quand tu auras toi aussi guéri de tes ...
... blessures. Où pourrais-tu fuir dans cette immensité ? Allez, viens avec moi, le Grec ! Viens boire et te restaurer.
Ils s’inclinèrent à nouveau avec respect et sortirent à reculons de la tente. Stupéfait, Erostratos contempla une foule de femmes qui faisaient cercle autour du chariot. Elles poussèrent une acclamation et ouvrirent le passage aux deux hommes. Une table à part avait été dressée. Ils prirent place. Le jeune homme ne put s’empêcher de se jeter sur la nourriture. Au diable la retenue. Il allait manger à s’en éclater la panse et boire à satiété du vin pur, « à la scythe » comme on disait à Athènes. Il allait jouer au barbare. Le prince lui frappa sur l’épaule en riant.
— À la bonne heure, l’ami. Tu sais vivre, voilà qui me plaît. La frugalité des Grecs m’exaspère d’habitude.
— Que font ces femmes aux côtés de ton peuple ?
— Nous sommes liés par nos ancêtres. Nos récits rapportent qu’il y a longtemps nos aïeux découvrirent ces femmes après les avoir affrontées. Ils résolurent de ne plus se battre avec elles et leur envoyèrent de jeunes guerriers avec mission de les observer et de nouer relations avec elles. Ils se replieraient en refusant le combat en cas d’attaque, reviendraient camper près d’elles aussitôt après. Un garçon remarqua qu’elles avaient l’habitude de s’écarter de leur campement au milieu du jour pour satisfaire leurs besoins naturels. Il en surprit une qui le laissa s’approcher. Elle lui fit comprendre de revenir le lendemain, ils s’aimèrent et ...