1. Épisode 2


    Datte: 01/07/2020, Catégories: fh, couleurs, couple, grossexe, complexe, vacances, plage, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, confession, initfh, Auteur: Cocu consentant, Source: Revebebe

    ... trois jeunes hommes, mais ils m’ont bien scrutée.
    — Bof, dis-toi que toi aussi tu les as admirés, fis-je en riant (alors que je bandais violemment et attendais la suite). Ils étaient nus, eux aussi ?
    — Oui. Ils doivent faire beaucoup de sport, ils étaient très musclés.
    — Des haltérophiles alors ?
    — Plutôt des basketteurs, je dirais. Très grands, deux étaient noirs.
    — Alors, à quoi ressemble un basketteur noir nu ?
    
    Ma bite me faisait mal tant elle me tirait, j’imaginais Michelle nue, un paréo autour de la taille, autour de basketteurs nus aux bites énormes. Je me mis à la caresser. Ses mamelons pointaient, je mis ma main dans sa chatte, elle commençait à mouiller.
    
    — Alors, comme ça ma femme va reluquer les bites des basketteurs en cachette ?
    — Mais qu’est-ce que tu dis, tu es fou ? » Elle riait cependant.
    
    Je m’enhardis et lui demandai :
    
    — Alors ils avaient de grosses bites ?
    — Énormes !
    
    Ça lui était sorti de la bouche comme un soupir, c’était incroyable. Elle dut s’en rendre compte et ajouta :
    
    — Ça doit faire mal, quand même…
    
    Mais elle dégoulinait entre ses cuisses. Je lui fis alors l’amour, avec dans ma tête son « énorme » explosif, qui semblait appeler à l’aide. Voulant battre le fer tant qu’il était chaud, je lui proposai, après, d’aller voir sur internet si on trouvait des photos de basketteurs nus. Elle trouva l’idée drôle. La requête bien sûr était farfelue, mon but était d’arriver à un site copieusement fourni en photos et en films d’hommes ...
    ... nus bien membrés. Je n’eus que l’embarras du choix. Michelle était hypnotisée. Je fis défiler devant ses yeux des photos de stars pornos, de préférence des blacks musculeux aux bites épaisses. Puis on regarda quelques courts clips, mes préférés, que je faisais semblant de découvrir avec elle, destrailers de films, avec des morceaux de choix : des dizaines de bites énormes enfilaient des vagins, des culs, des bouches, et des compilations d’éjaculations abondantes, ruisselants sur des visages, des seins, des ventres de femmes hurlant de plaisir. Michelle n’en croyait pas ses yeux. La bouche ouverte, les yeux ronds, je voyais sa poitrine haleter.
    
    — Bon maintenant il faut faire dodo.
    
    Et je fermai l’ordinateur comme si on avait consulté la météo. En réalité, j’étais curieux d’entendre ses commentaires et je feignais l’indifférence en attendant ses réactions.. Je me rendis compte alors que j’avais éjaculé dans les draps. J’allumai ma lampe de chevet. À mes côtés, Michelle, silencieuse, regardait ses cuisses. Elle me montra une flaque entre ses jambes. Tout le lit était mouillé.
    
    — Je le crois pas, répétait-elle.
    
    Je me remis à bander. On changea les draps, et j’essayai de détendre l’atmosphère :
    
    — Eh ben, ça t’a fait de l’effet.
    — Oui c’est le cas de le dire.
    — Ils étaient comme ça tes basketteurs sous la douche, alors ?
    — Ben oui, sauf qu’ils bandaient pas…
    
    Depuis lors, on épiçait nos soirées de courts films pornos, en majorité du style interracial. Petit à petit ...