1. Épisode 2


    Datte: 01/07/2020, Catégories: fh, couleurs, couple, grossexe, complexe, vacances, plage, telnet, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, confession, initfh, Auteur: Cocu consentant, Source: Revebebe

    ... l’habitude de visiter en cachette de Michelle quelques sites avant le coucher.
    
    Au bout de quelques semaines, j’étais déjà passé des sites érotiques soft à du porno plus affirmé. C’est là où je découvris que si les femmes ont des poitrines de tailles très variées, les hommes sont aussi disparates quant à la verge. Un genre en particulier, l’interracial américain, me fascina. Les membres des blacks dans les films étaient démesurés. Des bites de cheval, de toute beauté, grosses, veineuses, et qui déchargeaient des litres de sperme chauds. Les actrices m’intéressèrent de moins en moins, ce n’était plus qu’un accessoire pour voir jaillir puis travailler les pieux des acteurs. Je me mesurais bien sûr, et mes douze centimètres me confirmèrent mes impressions visuelles, et aussi mes lectures sur internet. Non, je n’avais pas une grosse bite, j’étais même, à ce propos, plutôt petit. Michelle ne s’en rendait pas compte, elle n’avait connu que deux hommes avant moi, et la taille de ma bite ne l’avait jamais dérangée. Il m’arrivait, en la pénétrant, de lui demander si ma bite est grosse, et elle répondait invariablement « oh oui », j’éjaculais immédiatement à la reconnaissance de ma virilité.
    
    Mais depuis que j’avais découvert les verges du porno, je me mis à changer. J’admis d’abord avec réticence que j’étais « court ». Ensuite, je découvris que cela pouvait être source de plaisir, paradoxalement. Il suffisait d’accepter la réalité, puis de jouer avec. Des scénarios où Michelle ...
    ... s’amusait avec des godes, puis avec un homme membré, se mirent à me trotter dans la tête.
    
    Je n’en parlais pas à Michelle, pas directement. Je me mis à lui demander si elle ne trouvait pas ma bite petite, ou si elle n’aurait pas préféré une plus grosse. Ses réponses semblaient dire qu’il n’y avait pas autre chose sur terre, elle ne se doutait manifestement pas de l’existence de bites de plus de douze centimètres, et même de vingt, de vingt-cinq, peut-être de trente centimètres. Ce monde lui était inconnu, et ses aspirations étaient limitées à ma petite bite et ma maigre éjaculation.
    
    Puis il y eut sa révélation à elle. Michelle s’inscrivit dans une salle de sport il y a deux ans, pour lutter contre sa tendance à s’enrober, ce qui personnellement ne me dérangeait pas, son corps ayant le goût de placer le superflu dans ses seins et ses hanches. Deux semaines plus tard, un soir au lit, elle me raconta, encore impressionnée, les joues en feu, qu’il lui était arrivé une « drôle » d’histoire. Après le sport, elle s’était déshabillée dans le vestiaire puis avait voulu essayer le sauna. Après les douches des femmes, elle prit un mauvais couloir et se retrouva, avec juste une serviette autour de la taille, dans les douches des hommes. Je fis semblant de trouver l’aventure banale, mais en vérité j’étais excité, et la poussait à détailler.
    
    — Ça arrive, c’est pas grave. Qu’y avait-il de drôle ?
    — Ben rien, mais quand même, tu sais, il y a avait du monde, enfin pas vraiment, juste ...
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