1. L'animal qui est en toi


    Datte: 11/04/2018, Catégories: f, fh, Collègues / Travail vacances, parking, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, pénétratio, fsodo, amourpass, extraconj, Auteur: Catherine, Source: Revebebe

    ... dans le cas qui est le mien serait de tourner le dos et d’essayer de penser à autre chose, mais je n’arrive pas à détacher mon regard de ses doigts qui ne cessent d’aller et venir dans son entrejambe.
    
    — Ça te plaît, ça, hein ?
    
    Bien entendu, je ne réponds pas.
    
    — Attends, tu vas pouvoir mieux voir…
    
    Et, le plus simplement du monde, elle se retourne et se retrouve tête-bêche avec moi. Par contre, cette fois j’ai une vue totalement imprenable sur sa somptueuse petite touffe rousse, sur sa vulve détrempée ainsi que sur ses lèvres totalement ouvertes. Par ailleurs, comme elle a embarqué son oreiller pour y poser la tête, elle peut tout à loisir continuer son petit manège tout en observant mes réactions. Dire que ça fait cinq ans que je la connais, mais si j’avais pu simplement imaginer qu’elle était garce à ce point…
    
    Bien entendu, j’ai de nouveau le cœur en zone rouge. Cependant, je m’efforce de n’en rien montrer, espérant qu’elle se prenne elle-même à son propre piège. Normalement, elle doit être dans le même état que moi, l’orgasme qu’elle a réussi à retenir d’extrême justesse quelques heures plus tôt doit toujours la travailler.
    
    Alors, il faut que je tienne, quitte à la titiller un peu, et que j’arrive à faire en sorte qu’elle se caresse le plus possible. À un moment, elle va bien finir par dépasser la dose prescrite, et à ce moment-là ça m’étonnerait qu’elle arrive une fois encore à se retenir.
    
    Enfin, espérons que cela ne durera pas trop, parce d’ici peu ...
    ... de temps il y aura tellement de sang dans ma queue qu’il n’y en aura plus assez pour irriguer mon cerveau.
    
    — Tu n’oseras pas te branler réellement devant moi. Tu as beaucoup trop peur de te faire couiner toi-même…
    — Oh si, je vais te le prouver, répond-elle d’une voix suave. Mais toi, résisteras-tu à l’envie de me tringler ? Je n’attends que ça, tu sais…
    — C’est ça, tu peux toujours attendre… dis-je, et c’est évidemment un mensonge…
    
    Alors, avec un regard infiniment gourmand, elle replonge deux doigts dans sa caverne intime tandis que, de son autre main, elle se remet à caresser furieusement son clitoris. De toute évidence, elle a été un peu trop optimiste, et la façon dont elle serre les dents, les yeux fixés sur un point qu’elle ne voit pas, tandis que sa vulve tremble sous l’assaut de ses muscles internes, en est la preuve. Elle est à un rien de succomber, mais dans un dernier effort, elle parvient quand même à se reprendre et à ne pas crier.
    
    Pour ma part, j’en suis encore à me demander comment je fais pour ne pas être déjà en train de la baiser. Cette superbe femelle se conduit comme la dernière des salopes, tout son corps réclame ma queue, mais j’arrive quand même à résister. Je ne sais pas du tout comment j’y arrive, mais pour l’instant je tiens.
    
    De son côté, Jennifer a réussi à se reprendre, mais elle ne s’avoue pas vaincue, comme en témoigne la position qu’elle vient de reprendre face à moi, chatte ouverte, jambes largement écartées, et la façon dont elle ...
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