1. Alicia et son papa (16)


    Datte: 29/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... mains, je veux voir ton trou du cul ouvert au-dessus de ta petite chatte baveuse. Car tu mouilles, non ?
    
    — Oui Monsieur, répondis-je piteusement.
    
    Je rougis en m’installant, sachant le spectacle obscène que j’offrais à mon père, mais c’était exactement ce qu’il voulait. Alors, toute honte bue, j’écartai mes fesses comme il avait demandé ; je sentis aussitôt mon anus, assoupli par le port quasi permanent du plug, s’ouvrir naturellement. Je dus résister à la réaction naturelle de me crisper et m’obligeai à rester offerte. En attente. Mes seins me faisaient mal tant ils étaient gonflés, les pointes érigées. J’espérais que papa les malaxerait rudement, tordrait les aréoles avec ses doigts puissants. Je poussai un gémissement sans m’en rendre compte.
    
    — Putain, Ali, tu as tant envie de te faire enculer ? Tu sais que je ne te permettrai pas de jouir, tu te rappelles ?
    
    — Oui Monsieur, je le sais.
    
    — Parfait, alors. Tu sais aussi que je vais être brutal, que je vais chercher à te faire mal, à te casser le trou du cul, jusqu’à ce que tu ne sois plus qu’une loque et que tu me supplies d’arrêter de te démolir ?
    
    — Oui Monsieur, faites comme vous le souhaitez.
    
    Pour ça, je n’avais pas de souci à me faire, papa a mené à bien son entreprise de démolition. Il m’a d’abord sodomisée contre le mur, profitant de ma posture pour m’investir d’une poussée brutale. Puis il a pilonné mon anus en ruades verticales qui me décollaient du sol à chaque fois. Il a alors empoigné mes ...
    ... tétons pour me soulever, m’arrachant un hurlement de douleur, et quand il m’a lâchée je suis retombée en m’empalant jusqu’à la garde sur son épieu roide. Il a recommencé encore et encore, jusqu’à ce que ma voix se brise en sanglots déchirants.
    
    À travers mes larmes, je voyais mes pauvres seins se déformer atrocement et se marbrer d’hématomes violacés, qui seraient sûrement douloureux le lendemain. Puis Papa m’a jetée au sol. Je me suis cognée sèchement sur le carrelage, épaule et hanche gauches, car j’étais trop dans ma bulle pour me protéger. Mon père m’a aussitôt tiré par les hanches pour relever mon fessier ; machinalement, je me suis offerte, bien cambrée, et il s’est rué en moi de toutes ses forces. J’ai hurlé à nouveau, les reins massacrés par une souffrance sans pareille. J’ai cru être déchirée, mais non, moins d’une minute plus tard la douleur s’en était allée. Je n’étais plus qu’un gouffre béant, un réceptacle, un fourreau élargi juste assez pour accueillir l’énorme mandrin qui le barattait sans cesse. J’étais inondée par la sueur qui ruisselait du visage et du torse paternel.
    
    La joue sur le carrelage, yeux fermés et bouche bée, je rythmais de mes cris les coups de reins brutaux de mon père. Secouée comme un prunier, le corps disloqué, j’étais dans un état second miséricordieux. Aussi je sentis à peine les tressautements de la lourde colonne qui crachait sa semence au fond de mes entrailles, accompagnés d’un grognement profond puis de l’écrasement quand le torse de ...