1. Alicia et son papa (16)


    Datte: 29/06/2020, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    La femme se racla la gorge, manifestement gênée. Elle n’osait pas me regarder et fixait le sol dans une posture soumise. Pas très grande, à peine plus que moi sûrement, svelte, la peau mâte et les cheveux châtains ramenés en queue-de-cheval, elle portait une minirobe blanche moulante qui ne laissait pas grand-chose à l’imagination. Je distinguais même ses aréoles sombres qui paraissaient percées de gros anneaux. Le collier-de-chien à son cou me laissa penser qu’il s’agissait d’une soumise. Son attitude humble, les mains sagement croisées dans le dos n’étaient que des confirmations.
    
    Elle leva soudain les yeux sur moi et j’eus un choc. Elle était très belle ; une beauté latine aux yeux noisette pleins de larmes qui commencèrent à couler sur ses joues. Elle tenta un pauvre sourire que je lui rendis, guère plus rassurée qu’elle.
    
    — Voici la jeune dont je vous parlais, Raul, indiqua Babacar.
    
    — Elle est superbe. C’est donc la fille d’Arnaud ? s’enquit Raul.
    
    — En effet, oui. Elle travaille pour votre père depuis deux mois environ.
    
    — Et elle est... débourrée ?
    
    — Pas encore. Elle a seulement quelques jours de travail. Elle est très rétive, il faut la brusquer perpétuellement.
    
    — Intéressant. Renvoyez-la, il faudra que je parle avec son père.
    
    Intéressant ? Il me veut quoi, le rastaquouère géant, il n’en a pas assez de sa soumise ? Elle est bien plus belle que moi, surtout s’il aime les gros nénés. Elle a du monde au balcon ! Et lui, je ne le trouve pas moche, au ...
    ... contraire. Il est super canon, genre croisement entre une basketteuse et un conquistador, tendance fox-terrier. Il a l’air aussi velu que son père, je me demande ce que ça fait de caresser son torse ; j’imagine que les poils sont super doux...
    
    — Allô la Terre, aboya Hamid. Casse-toi, la pouf.
    
    Je ne me le fis pas dire deux fois et pris la direction de la sortie. Papa était dans la cuisine quand j’arrivai ; je le rejoignis après m’être déshabillée rapidement et attendis ses ordres, mains dans le dos et jambes écartées. Il leva à peine la tête des oignons qu’il épluchait.
    
    — Tourne-toi, Ali. Bon sang, qui t’a fait ça ? Ta peau s’est fendue à plusieurs endroits.
    
    — C’est un ami d’un des vigiles, je crois, Monsieur. Il s’appelle Samuel. Monsieur Rodriguez était mécontent après eux. Et son fils aussi, si j’ai bien compris.
    
    — Tiens, Raul est revenu ! Méfie-toi de lui, tu n’aimerais pas tomber entre ses pattes.
    
    — Il a dit qu’il passerait vous voir, Monsieur. Je pense que c’est à mon sujet.
    
    — Merde ! Bon, viens me sucer, j’ai besoin de réfléchir.
    
    — Bien Monsieur.
    
    Papa resta debout, appuyé contre le plan de travail en granite ; il saisit un verre embué contenant un liquide pâle, du vin blanc sûrement. Je m’attaquai à son pantalon et dégageai son membre qui jaillit comme un diable de sa boîte. Déjà imposant, il grandit encore et durcit sur ma langue pour atteindre sa plénitude. Je commençai à le pomper, et tentai de le prendre en entier, mais dans cette position ...
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