1. Dépucelage tardif


    Datte: 29/06/2020, Catégories: ffh, jeunes, vacances, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme init, prememois, Auteur: Yvan, Source: Revebebe

    ... plusieurs jets violents et salutaires. Mes giclées de bonheur, comme je les appelais.
    
    Parfois, Julie me caressait le corps tout en évitant mes parties intimes. Ma peau était tellement sensible et si peu habituée aux caresses, qu’elle en tressaillait, non de plaisir, mais par les chatouillis que cela provoquait. J’étais chatouilleux à l’extrême et mes rires à chacune de ses caresses, nous valurent de longs moments de tendresse et de complicité. J’avouerai ici que ces préliminaires-là furent parmi mes meilleurs souvenirs de sexe partagé…
    
    Cette sexualité incomplète qui dura de longs mois, commençait à me peser, d’autant qu’à vingt ans passés, j’étais toujours puceau. Je décidai de passer la vitesse supérieure, et je profitai de quelques jours de congés universitaires pour lui proposer un week-end dans les Vosges.
    
    La perte de ma virginité fut épique, mais pas autant que celle de Julie…
    
    On avait roulé toute l’après-midi, on avait encore bien rigolé pendant le voyage, et c’est confiant, l’un comme l’autre, que nous arrivions à l’hôtel de la petite commune vosgienne de Mittlach, dans le Haut-Rhin.
    
    Le simple fait de poser nos sacs sur le lit fit grimper au zénith mon taux de testostérone. Je pensais déjà à notre très prochaine nuit de noce, je dis bien nuit de noce, tant il était évident pour moi que ma Julie était la bonne, la seule, l’unique femme de ma vie. Le dîner fut vite expédié. On avait évité le Gewurztraminer, moi, parce que je voulais conserver les idées ...
    ... claires, Julie, pour une toute autre raison qui m’échappe aujourd’hui. Une fois dans notre chambre, préposée à nos deux dépucelages, Julie prit une douche, alors que j’étais vautré en slip sur le lit. Elle revint au bout de quelques minutes, vêtue d’un peignoir de bain. Je pris la suite en évitant de lui montrer ma gaule impatiente. Mais c’était incontrôlable, j’avais trop envie, et probablement trop tardé.
    
    À ce stade du récit, je préviens en aparté le lecteur qu’il peut à son aise se foutre de ma gueule, mais en silence, please !
    
    À mon retour de la douche, je trouvai Julie enroulée dans les draps. Dans mon esprit, ce n’était pas une invite à l’amour, mais bon… Je me glissai également sous les draps, après avoir tombé le slip prestement, dans un silence digne des cathédrales. J’étais à poil, tandis que ma Julie avait revêtu une tenue de nuit, sans doute élégante, mais comment dire ? De trop, inutile, superfétatoire. La situation me déstabilisa. Julie me demanda d’éteindre la lumière. J’aurais bien voulu profiter de ses formes, la regarder bouger pendant que je lui faisais l’amour, mais bon, ce serait pour une prochaine fois. Je lui obéis.
    
    Les préliminaires se déroulèrent agréablement, et je succombai comme d’habitude à ses caresses chatouilleuses dans des rires bruyants et partagés qui avaient dû alerter les occupants des chambres voisines. Cette fois, cependant, je me gardai bien de caresser ma Julie jusqu’à l’orgasme. Je vins frotter mon manche impatient sur son mont ...