1. Un bon début


    Datte: 29/06/2020, Catégories: fh, jeunes, inconnu, fépilée, vacances, forêt, intermast, Oral 69, pénétratio, québec, occasion, nature, Auteur: KGE, Source: Revebebe

    ... réfléchir à quoi dire, à quoi ne pas dire, lorsqu’elle reviendrait, si elle revenait… En vacances pour relaxer, décrocher de la réalité, vivre physiquement plutôt qu’intellectuellement ? Foutaises ! Je cogitais au maximum de mes capacités pour anticiper cette soirée. Je me savais doué d’une imagination débordante, mais ce ne fut que quand je la vis arriver que je découvris mes talents de voyant : elle était identique à ce que je m’étais imaginé, sinon encore plus belle. Elle avait troqué son uniforme de service pour une petite camisole blanche et des culottes très courtes qui dévoilaient son corps de sportive, un corps joliment dessiné et qui exhalait la détermination. Son air légèrement gêné la rendait encore plus désirable. C’était presque sûr, j’avais trop bu et je divaguais. C’est ce qu’elle dut croire car mes premières paroles furent assez incompréhensibles et illogiques. Je me rattrapai en lui demandant son prénom, Nathalie, et en lui offrant une chaise et un verre.
    
    La soirée fut des plus plaisantes. J’avais réellement l’impression de parler à une amie de longue date. Nous nous sommes découvert des intérêts communs pour la nature, les voyages, la littérature et la photographie. Comme je l’avais imaginé, elle était très dynamique et passionnée. J’étais carrément sous le charme, sous son emprise. Aussi con que cela puisse paraître, je venais spontanément de comprendre des dizaines, sinon des centaines, de chansons d’amour, de poèmes et de films…
    
    C’est à ce moment ...
    ... qu’elle sursauta en entendant un animal sortir du bois tout près de nous et, sans réfléchir, elle se blottit contre mon corps. Je ne pensais même pas à attraper ma hache et prouver que j’étais un vrai homme viril prêt à défendre ma conquête, j’étais trop ému par le contact de son sein contre ma poitrine. J’étais incapable de réfléchir normalement, alors oubliant ma timidité je l’embrassai tendrement dans le cou, aussi naturellement que si nous formions un vieux couple. Sa peau était délicieuse, douce, parfaite. Elle frissonna. Je recommençai une seconde fois. La moufette passa devant nous sans susciter la moindre réaction. Je regardai Nathalie dans les yeux et elle m’embrassa une, deux, dix fois. Alors que j’ouvrais la bouche pour parler, elle me dit :
    
    — Non, ne parle pas. C’est trop fort, on ne peut pas risquer de briser ça avec des paroles.
    
    Tout était dit, elle ressentait probablement les mêmes émotions que moi. Je commençai à l’étreindre, à la caresser, tout en l’embrassant. Après quelques minutes, j’étais dans un état d’excitation incroyable et je devais la posséder entièrement, je crois que ma vie en dépendait. Je lui pris la main et l’entraînai vers ma tente. Un fond de logique me disait de me calmer, de réfléchir avec ma tête plutôt qu’avec mon sexe, sauf que ce dernier tentait de déchirer mon pantalon et me semblait plus préoccupant.
    
    À peine était-elle entrée dans la tente que je bondis sur elle pour l’embrasser et frotter mon corps contre le sien. Elle me ...
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