1. À demi molle


    Datte: 28/06/2020, Catégories: f, h, fh, Masturbation pénétratio, fsodo, Humour Auteur: Rosebud, Source: Revebebe

    ... ?
    
    Elle manque faire un malaise.
    
    — Quoi ? Il faut que nous soyons divorcés pour que tu me regardes enfin !
    — Oh, tu exagères…
    
    Je lui apporte son verre. Un Martini rouge noyé dans de la glace pilée. Elle n’aime que ça. De mon côté, j’opte pour un whisky sec.
    
    — À tes amours, dit-elle en me souriant.
    
    Si elle savait…
    
    — Santé.
    
    Nous buvons. Je la trouve étrangement sexy ce soir. Pour faire de la route, elle aime généralement être à l’aise : jogging, tennis… Alors pourquoi aujourd’hui ce jean noir ultra-moulant et ce top court dévoilant son nombril ? Et ce regard ! J’ai l’impression qu’il me déshabille.
    
    — Et toi ? dis-je pour meubler.
    — Quoi, moi ?
    — Tes amours…
    
    Elle soupire.
    
    — Le néant… Le vide absolu…
    — Tu veux dire que depuis notre divorce.
    
    Elle opine du chef. J’ose à peine imaginer son état d’excitation car s’il y avait bien un domaine dans lequel notre entente était parfaite, c’était le sexe. C’était le seul, en fait. Nous nous disputions à longueur de temps, pour tout et pour rien. Mais quand il s’agissait de se rabibocher sur l’oreiller, c’était toujours en parfaite communion. Il faut dire que nous avons tous deux un gros appétit. Alors de l’imaginer chaste depuis… combien de temps déjà ? Huit mois ! Huit mois pour elle, autant dire une éternité. Ça doit frétiller dans son string ! Pas étonnant qu’elle se dandine sur le fauteuil en me dévorant du regard.
    
    — Tu as vu ? me lance-t-elle en désignant Victor. Il s’est endormi…
    
    Et sa ...
    ... main gauche de s’inviter sous son tee-shirt. Il ne m’en faut pas plus pour qu’une sévère érection se déclenche dans mon caleçon. Je me dis que, finalement, seul ou accompagné, le résultat sera le même pour mon planning. Et je dois avouer que deviner ses doigts jouer avec son téton m’excite au plus haut point.
    
    — Je vais mettre Victor dans son lit, dis-je.
    — Très bonne idée.
    
    Je porte notre fils jusque dans sa chambre et le borde. Quand je reviens dans le salon, Nathalie est nue. Assise dans son fauteuil, les jambes largement écartées, sa main glisse sur son ventre jusqu’à achever sa course entre ses cuisses. Je reprends ma place et baisse mon pantalon, libérant mon sexe par trop à l’étroit.
    
    — Tu me manques trop, gémit-elle en se caressant de plus en plus vivement.
    — Sexuellement ?
    — Oh oui… sexuellement. C’était tellement bon, le sexe à deux !
    
    À en juger par ses difficultés à articuler, il faut que je me presse si je veux avoir une chance de jouir avant elle. Mais elle me coupe l’herbe sous le pied en s’approchant et en s’agenouillant devant moi. Et sa langue se met à l’œuvre. Suivie de ses lèvres. Cela fait si longtemps… Ce contact me semble si lointain. Je ne me souvenais plus qu’elle était aussi douée, d’ailleurs.
    
    Tout en me pompant – finalement autre chose que l’air – ses doigts s’agitent toujours entre ses lèvres et son clitoris. J’ai envie de la prendre mais il m’est difficile de me défaire de sa bouche divinement agile. Elle étouffe un premier râle de ...
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