1. Marie, cougar catéchiste, 2° partie


    Datte: 28/06/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Partouze / Groupe Anal Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... ? Dans ce contexte, les mots d’excuse n’auraient pas eu de sens. D’ailleurs, je me savais tout aussi coupable que lui. Sans parler, il s’est agenouillé et a commencé à sucer le godemiché. Ma colère est retombée immédiatement. Je lui caressais les cheveux. Il savait faire entrer l’engin jusqu’au fond de sa gorge, sans nausées apparentes. Préférait-il les garçons ? Je me caressais les seins en même temps, et je voyais dans le miroir l’image de nos corps que la bougie colorait d’ocre. Cette étrange fellation m’a conduite à la jouissance, de nouveau.
    
    Je lui ai fait signe de se relever. Il s’est mis è genoux sur le lit, en me tournant le dos, et m’a présenté son derrière, en se penchant en avant. Il voulait donc, pour sa première fois, que je l’encule avec le gode-ceinture. La tige était bien lubrifiée de salive, à laquelle j’ai ajouté de la mouille que je sécrétais en abondance, et d’un grand coup de reins, je l’ai empalé à fond. Il a poussé un gémissement aigu. La bite artificielle cognait sur sa prostate, ce qui lui procurait une évidente volupté. Il a éjaculé sur le plaid sans même toucher à son pénis. Je me suis retirée et j’ai enlevé la ceinture dont les lanières commençaient à irriter ma peau. Puis, comme il a voulu, je l’ai branlé avec mes pieds, tout en me caressant, allongé sur le lit, le dos mouillé de sa semence. L’infatigable petit satyre a de nouveau giclé, cette fois sur mes orteils qu’il a ensuite léchés soigneusement. Ensuite, il a pris congé de moi pour ...
    ... aller dormir, car, disait-il, il avait besoin de sommeil. J’étais déçue qu’il ne m’ait pas pénétrée avec son sceptre magnifique. J’avais pourtant des préservatifs en réserve.
    
    Incapable de fermer l’œil, j’ai enfilé mon kimono de soie rouge, sans rien dessous, et j’ai déambulé dans les couloirs du couvent, ma bougie à la main. Tout semblait calme, mais soudain, j’ai entendu des bruits qui venaient du sous-sol. À force d’errer, j’ai fini par trouver la salle d’où venaient ces rumeurs. La porte était entrouverte.
    
    À l’intérieur de la salle, les garçons et les filles attendaient en file indienne, en pyjama. Ils devaient se déshabiller à tour de rôle, puis passer les poignets et le cou dans un pilori fixé au sol, avant d’être fouettés par les religieuses. Celles-ci étaient impitoyables ; il y avait du sang. Parmi eux, Thomas attendait son tour, tranquillement. Il ne manifestait pas d’inquiétude particulière. Autour du cou des jeunes, une pancarte indiquait leurs péchés. Sur celle de Thomas : « fornication nocturne avec une maman catéchiste ». C’est alors que j’ai remarqué qu’au mur se trouvait un écran qui diffusait des images filmées par des caméras dissimulées un peu partout dans le couvent. Notamment, dans les douches, et aussi dans ma chambre.
    
    Je me suis avancée et j’ai demandé à être flagellée aussi, puisque j’étais, preuves à l’appui, une pècheresse. J’ai aussi proposé qu’on épargne l’innocent Thomas, quitte à ce que je sois punie doublement pour mon esprit de débauche. ...