Laurent & Sophie à la plage (3)
Datte: 27/06/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... dans le salon. Il était plus haut que moi et je me réfugiais entre les jambes de Madame, qui pour le moment me protégeait. Le couple prenait Médor (ça ne s’invente pas un nom pareil pour un chien !) par le collier pour le calmer. Les présentations entre les deux couples se faisaient et l’apéritif était proposé par Madame, j’apprenais que Monsieur était maire d’une grande ville des environs et ami intime d’un futur ex-président de la République qui avait eu quelques déboires à cause de frasques sexuelles, et qu’il dirigeait le plus grand cabinet de notaires de la région. L’alcool aidant, ils en étaient à la seconde tournée, Madame voulait que Clitorine et Médor fassent connaissance.
L’interphone crépitait, c’était un coursier qui amenait les résultats du labo. Les nouvelles étaient bonnes suivant les dires de Madame qui en profitait pour me tapoter le dessus de la tête en guise de récompense.
J’aboyais une fois et j’allais à reculons, mais c’était sans compter sur Monsieur et l’homme du couple qui avaient bien décidé de me présenter à Médor et de nous mettre en couple. Je décidais d’obtempérer, Médor me sentait l’arrière-train en me donnant des coups de truffe humide sur la chatte et des coups de langue, ce qui avait pour effet presque instantané de me faire mouiller. Il finissait par me laper avec sa langue rugueuse mon intimité, mon clitoris n’y résistait pas et l’homme du couple le remarquait en ne cachant pas sa surprise d’un engin aussi volumineux chez une petite ...
... chienne de mon envergure.
Il fallait que j’embrasse Médor sur la truffe, ce n’était pas pire qu’un certain flirt que j’avais eu étant jeune fille, qui me léchait carrément la figure en guise de baiser.
J’avais la figure trempée, tout comme ma chatte et tout mon entrejambe. Je voyais la bite de Médor sortir de sa housse de protection et la couleur violacée était impressionnante, je croyais que les chiens avaient plutôt le sexe long et fin, et bien je revenais sur mon jugement un peu hâtif. Médor était monté comme un petit âne, avec une bite épaisse et courte, des bourses d’un petit volume et déjà des gouttes de foutre entouraient son gland vibrant.
Monsieur me faisait allonger sur le sol pour pouvoir prendre en bouche le sexe canin et l’homme du couple aidait son cabot à s’introduire dans ma bouche, je n’avais pas le droit de me servir de mes mains et Madame me le rappelait durement à ce moment-là, en me donnant un coup de pied dans la chatte qui était vue, ma position grande ouverte et offerte à tous les regards. Je m’appliquais à bien le sucer, malgré quelques haut-le-corps qui me prenaient. Le cabot donnait des coups de reins, comme s’il me baisait la bouche.
Mais il y avait vraiment peu de différences entre une bite d’homme ou celle d’un chien. Après cette fellation, ce fut bien entendu à mon tour de me mettre à quatre pattes pour me faire prendre par le bestiau aidé par le quatuor, j’étais installée de sorte à bien recevoir l’hommage du mal en rut, un coussin ...