Laurent & Sophie à la plage (3)
Datte: 27/06/2020,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... faisait un bruit de clapotis, la toiletteuse me faisait face et faisait des grimaces alors que je jouissais à plusieurs reprises, ça ne semblait pas se finir et chacun trouvait quelque chose en plus des doigts à m’enfoncer dans la chatte, martinet, tube de crème, de shampoing, mon cul n’était pas épargné, mais Monsieur avait émis des restrictions, car il était très étroit (merci mon maître).
Le chien à côté jappait et n’arrêtait pas de se secouer en m’entendant gémir, lui aussi devait me prendre pour une chienne bonne à saillir, il sentait bien qu’il se passait de choses intéressantes, peut être sentait-il la femelle en chaleur que j’étais devenue.
Les doigts étaient remplacés par des langues et vice versa, je ne savais plus qui j’étais, je n’étais qu’un morceau de plaisir qui jouissait. Les choses se calmèrent un temps et chacun vidait un verre, pas moi.
On me détachait et je pensais qu’ils s’étaient bien amusés (moi aussi d’ailleurs) et que j’allais partir...
Une fois au sol, les bites sortirent, les deux hommes et la toiletteuse s’occupaient rapidement de ma chatte et de ma bouche, elle avait récupéré le martinet et m’en assénait des coups aux endroits disponibles de mon corps, Monsieur, m’embrassait quand la place était libre, c’était la première fois et j’étais surprise et désemparée.
Je crois que je me suis fait prendre pendant trois quarts d’heure sans ...
... arrêt, moi qui ne connaissais pas la sodomie ni le triolisme il y avait quelques jours, j’étais gâtée.
J’avais du sperme partout, la bouche, la chatte, les cheveux, le visage, les seins, vraiment partout, une fois qu’ils se sont tous vidés sur ou dans moi, seule la toiletteuse était encore très excitée et c’est sur sa proposition que le chien eut droit de me lécher et moi, de me laisser faire, sinon j’avais droit au martinet.
J’avais peur qu’ils ne me fassent baiser par le chien, mais j’échappais à cette épreuve, par contre, je me retrouvais de nouveau à quatre pattes sur la table pour me faire nettoyer au jet qui sert à shampouiner le poil des chiens.
Le bout introduit dans mon vagin, c’était le fond de ma chatte qui recevait toute la puissance de l’eau tiède. Bien sûr, ma chatte fut lavée en profondeur, l’effet était immédiat et j’avais un violent orgasme, ce qui ne manquait pas d’énerver la toiletteuse qui se vengeait en tordant mes tétines d’un demi-tour. Elle ne pouvait sûrement pas ressentir de jouissance aussi forte que la mienne.
Elle proposait à Monsieur de me faire rencontrer un éleveur qui avait une trayeuse automatique pour ses vaches et qu’elle était sûre que j’avais du lait à produire. Monsieur était intéressé, il était vivement remercié et je me retrouvais debout toujours aussi nue et Monsieur qui me tirait vers le fond du salon pour regagner la voiture.