1. Laurent & Sophie à la plage (3)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... heureusement que la voiture avait une boîte automatique et que seule sa main gauche était occupée à la conduite, ce qui laissait tout loisir à sa main droite pour m’explorer. Il me pinçait le clitoris quand la lumière jaillit.
    
    — Clitorine, voilà un nom super pour une chienne,
    
    Madame était enthousiasmée et moi je jappais, non pas pour cette bonne idée, mais par ce que me faisait subir Monsieur.
    
    Ils prenaient cela pour un consentement de ma part, donc j’étais baptisée Clitorine. Madame prononçait mon prénom à tout va, le faisait chanter dans la voiture. Elle était tellement contente qu’elle demandait à Monsieur de s’arrêter à l’espace Emeraude de Challans qui avait un rayon animalerie énorme, disait-elle. Monsieur lui faisait remarquer que j’étais bien Clitorine, la petite chienne, mais que je ne pouvais pas rentrer nue dans le magasin. Elle me prenait réellement pour son animal de compagnie, j’étais sidérée, à mon avis elle avait un grain, ce n’était pas possible autrement.
    
    Elle semblait découvrir, le temps d’un instant, que j’étais une jeune femme et qu’à ce titre, je devais me vêtir aux yeux des autres.
    
    — Oui, c’est vrai, les gens sont ignorants, il y a des vêtements dans le magasin, je vais acheter une bricole pour pouvoir l’emmener avec nous, mais elle garde son collier.
    
    Monsieur était d’accord avec Madame et s’arrêtait dans la zone commerciale non loin du magasin en question. Elle descendait de la voiture, non sans m’avoir donné un baiser sur le nez ...
    ... (sur le museau devrais-je dire), je restais tapie sur le sol, aux pieds de Monsieur devant le siège passager. Il me tripotait à deux mains et mes tétines n’étaient pas laissées pour compte, elles me faisaient mal, tendues et raides, Monsieur se délectait de me voir réagir à ses pincements, j’étais en eau, mon vagin coulait et mes cuisses étaient mouillées de mon jus de fille en chaleur.
    
    Moi qui étais plutôt réservée et introvertie, on me faisait me conduire comme la dernière des chiennes. Madame ne tardait pas à revenir et je passais au salon d’essayage à l’arrière du véhicule. J’étais anxieuse de découvrir ce qu’elle avait trouvé dans un magasin de jardinage, bricolage, animalerie et agricole. A part des bottes en caoutchouc et des chapeaux de paille, je ne voyais pas ce qu’il pouvait y avoir. Mais c’était sans compter sur son imagination.
    
    Je regardais abasourdie le gilet jaune extirpé du sac en papier recyclé. Je protestais en disant que je ne pouvais pas sortir habillée avec cet accoutrement et je recevais de la part de Monsieur des baffes en série et il me criait dessus en hurlant des insanités. J’étais complètement scotchée et me rapetissais sur la banquette en n’osant rien dire, comme un chien pris en faute. J’avais enfreint la loi de la parole et Monsieur me le faisait payer cher.
    
    Madame me cajolait en me débitant des phrases que l’on dit à un bébé, tout en m’appelant ma petite Clitorine adorée. Monsieur se calmait et je reprenais pied grâce à Madame qui me ...
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