1. Laurent & Sophie à la plage (3)


    Datte: 27/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... faisait asseoir sur les fesses et m’ordonnait de l’attendre. Il cognait à une des deux portes qui donnaient sur la courette et disparut un moment qui me semblait une éternité. Les bruits de la rue arrivaient à mes oreilles et la distance entre la petite cour et le trottoir n’était pas bien grande et je pouvais être surprise à chaque instant.
    
    Il réapparut après de longues minutes et me tirait par le collier à l’intérieur de ce que je croyais être le cabinet de l’esthéticienne.
    
    Je me rendais compte au dernier moment que l’endroit où nous pénétrions était un toiletteur canin.
    
    Monsieur était derrière moi et me poussait à l’intérieur avant que je ne puisse avoir un mouvement de recul. Il y avait deux personnes assises, un homme et une femme, vêtue d’une blouse, je l’identifiai comme étant la toiletteuse.
    
    Un chien attaché et soutenu dans une position qui l’immobilisait venait d’être tondu.
    
    — Bonjour Monsieur, soyez le bienvenu, l’homme le salua également et les deux paires d’yeux se tournèrent vers moi.
    
    . Visiblement, il était attendu et bien connu.
    
    — Alors c’est elle, jolie, vous avez bon goût, bonne race et qui ne perd pas ses poils.
    
    La femme fermait le verrou et tirait le rideau qui donnait sur la rue. Elle me prenait par la main et me faisait tourner sur moi-même, me faisait m’accroupir et pour finir, me mettre à quatre pattes. Normal pour une chienne, pensais-je.
    
    J’avais du mal à réaliser ce qui se passait, tout était allé trop vite pour moi. Je ...
    ... me retrouvais au sol, maintenue par cette femme entre deux âges, un homme me reluquait salement et Monsieur semblait s’en remettre totalement à eux. Je frissonnais. J’étais rapidement bâillonnée, la toiletteuse m’expliquait que je devais me tenir sage, car elle avait dressé des chiennes plus grandes que moi.
    
    Elle me faisait monter sur une table identique à celle où attendait le chien déjà tondu et attachait mon collier au mousqueton au-dessus de ma tête, qui m’obligeait à rester le cou tiré vers le haut. Cette position devait être celle pour que les chiens ne bougent pas pendant que l’on faisait leur toilettage et ne puissent pas mordre.
    
    Je n’osais bouger campée sur mes bras et mes jambes, la tête fière tendue vers le haut. J’étais pétrifiée d’entendre parler de moi comme si je n’étais pas là, par la toiletteuse, l’homme et Monsieur, en parlant de mon corps de la façon dont je pisse et que je me balade à poil dans les magasins, dont j’ai joui quand Médor m’a couverte, il inventait certaines choses, sûrement pour se faire valoir auprès des deux autres.
    
    J’étais inspectée de très près.
    
    En tout état de cause, ma venue était attendue. La toiletteuse n’en finissait pas de détailler mon corps, je me disais qu’elle avait le même et qu’elle n’en parlait sûrement pas aussi précisément. En tout cas, l’homme et Monsieur également étaient très à l’écoute.
    
    — Tu as le choix de rester bâillonnée ou d’être libre de ta bouche si tu promets de ne pas crier, tu peux juste aboyer, ...