1. L'autographe


    Datte: 26/06/2020, Catégories: fh, inconnu, bus, volupté, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, strip, facial, nopéné, portrait, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... offerte, juchée sur ses semelles à talons compensés. Elle échappa un cri de surprise et porta instinctivement ses mains sur sa poitrine, les coudes repliés, avant de se retourner subitement, un éclair de terreur dans le regard.
    
    Le tableau était bien au-delà de mes espérances, portant mon fantasme jusqu’à ses dernières limites. La créature de la nuit ne portait aucun sous-vêtement, elle était nue sous sa robe il n’y a pas dix minutes, précisément au moment où je m’imaginai la deviner, assis à ses côtés. Elle exhibait maintenant sans pudeur sa toison brune soigneusement épilée, juste au-dessus de sa fente clairement dessinée. J’avais une trique du tonnerre et, à vrai dire, ne savais plus qui, d’elle ou moi, était le plus gêné.
    
    J’eus bientôt ma réponse. La rougeur subite qui avait envahi son visage s’estompa bien vite pour laisser place à un sourire équivoque. Puis lentement, comme pour me signifier qu’elle était consciente de ce qui allait suivre, elle déplia ses bras pour révéler ses petits seins en fièvre, les paumes en appui sur les hanches. Elle agita ensuite sa crinière sur ses épaules avant de me tendre une main pleine de promesses. Je sentais une forte odeur de luxure planer dans l’air, un peu comme l’ozone laissé par l’orage, un parfum qui ne cessait de perturber mon membre dont l’empreinte se dessinait largement sur mon pantalon.
    
    Alors j’agrippai timidement sa main douce et brûlante, percevant la chaleur de ses doigts lorsqu’elle les referma sur les miens. ...
    ... J’avais la sensation que cette fille s’était emparée de ma queue en entier. Puis abandonnant l’étoffe à ses chevilles, elle entama une promenade érotique en ma compagnie, totalement nue sur ce trottoir de L.A., où n’importe qui pouvait nous surprendre. Nous longeâmes ainsi le boulevard sur une cinquantaine de mètres comme deux amoureux, sous les regards ébahis des quidams, pour l’essentiel des clochards logés dans un carton. Sans doute cette apparition avait-elle des allures d’espoir et de rédemption pour ces âmes rejetées par la société.
    
    — I’m Taylor Rain, me dit-elle subitement. Do you want to fuck me ?
    
    Sans même attendre ma réponse, elle me poussa ensuite contre la portière d’une voiture en stationnement, sous la lueur blafarde d’un réverbère. Incapable de prononcer un seul mot, je me déboutonnai en hâte et sortis ma queue chargée d’émotion. Il y avait bien longtemps que mon corps s’était embrasé et j’achevai de me consumer sous les yeux de la divine Taylor Rain. Et tandis qu’accroupie, les cuisses écartées, elle prenait mon membre entre ses ongles vernis de rose, j’échappai un long jet saccadé qui noya son visage, scindant de mon foutre le sourire éclatant sur ses lèvres. Puis sans même fermer les paupières, elle poursuivit de cette phrase si excitante :
    
    — Yes, baby, cum on my face, cum on my mouth, mmm… avant de recueillir le fruit de ma seconde convulsion au coin de sa bouche, cette fois un amas de sperme très compact.
    
    Elle passa alors négligemment son majeur ...