Une voisine sans gêne - Histoires de Sexe

Une voisine sans gêne

... homme. Mais ne te crois pas obligée. Ou bien je peux aller chez moi me reposer.
— Laisse-moi essayer.

Guy est heureux. Voilà le premier pas de franchi. Il se lève et se place tête-bêche avec Chloé. Et il reprend l’attaque du triangle qui a donné tant de plaisir tout à l’heure à sa compagne.

Elle voit apparaître devant elle cet engin qu’elle redoute tant. Il n’est encore pas très ferme. Mais elle s’est promis d’essayer. Du bout des lèvres, elle dépose une caresse, puis comme pour un baiser normal, puis sort la langue, le lèche. Elle sent vibrer l’organe, le saisit à pleine main et glisse la boule chaude dans sa bouche. Petit à petit elle l’enfonce, il glisse sur sa langue et touche le fond de son palais. Après tout, ce n’est pas si terrible, il suffit de le vouloir.

D’autant qu’elle ressent en bas le même plaisir que tout à l’heure. Sa main cramponne, secoue inconsciemment la queue comme elle l’a fait quand elle l’a branlé.

Brusquement on lui retire sa sucette, son minou est abandonné, pourtant elle était si bien. Guy se redresse, enfile rapidement sa protection. Puis il vient auprès d’elle.

— Tu veux toujours que je te baise ?
— Oh oui, vas-y, je suis toute mouillée.
— Dis-moi, si tu veux que j’arrête.
— Oui, viens vite.

Il se place au-dessus d’elle, entre ses jambes écartées, appuie le gland contre la fente humide. Doucement il se laisse descendre sans qu’il y ait protestation. Bientôt, ils sont pubis contre pubis.

— Tu n’as pas mal, lui ...

... demande-t-il.
— Non, je me sens remplie et c’est même assez agréable.
— Maintenant, je vais te baiser.

Il se met lentement en train, se sent coulisser de plus en plus facilement. Chloé halète doucement, puis gémit, mais ce n’est pas de douleur. Alors, il accélère la cadence, frappant bientôt à grands coups contre le pubis.

Soudain, elle se raidit, rabat ses jambes contre les cuisses de Guy, pousse un grand cri. Puis ses muscles se relâchent.

— Je ne t’ai pas fait trop mal, lui demande ironiquement Guy.
— Oh, quel bonheur ! bien meilleur que quand je me branle.
— Eh bien, tu as découvert le plaisir, tu as eu un orgasme. Tu es prête pour affronter les hommes.
— Mais j’ai eu du plaisir parce que c’était toi. Tu as su éveiller en moi des sensations formidables. Mais qui me dit que mon prochain partenaire y arrivera ?
— Ce sera à toi de jouer avec lui, de le guider, de l’exciter si nécessaire.
— Oh, que je t’aime.
— Attend, ne confonds pas. Tu aimes le plaisir que je te donne, nous sommes en accord sexuel. D’accord. Mais l’amour, ce n’est pas ça, ce sont des sentiments que deux personnes éprouvent, partagent. Et je ne crois pas que ce soit notre cas. Par contre, je veux bien te rendre service de temps en temps.
— Salaud, tendre salaud. C’est vrai j’aime ta queue qui me transperce, tes caresses et je t’en demanderai souvent.
— Alors là d’accord.

Ils se sont endormis dans les bras l’un de l’autre. Guy se réveille le matin et regagne son domicile. Vers sept heures, sa porte ...