Don Booth et la théière disparue
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
h,
fh,
fff,
fffh,
couple,
bizarre,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
Humour
policier,
Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe
... hésitation : devant moi, je voyais le cul de Karen dressé pendant qu’elle était penchée à quatre pattes vers le membre du marabout guitariste. À ses côtés, je voyais celui d’Agathe, un peu plus blanc, un poil plus large et tout aussi accueillant. Certains appellent ça un dilemme de riche ! Mais le sourire que m’adressa Aurélie en s’agenouillant devant moi eut raison de mes hésitations, je m’approchai d’elle et présentai ma queue raide comme un curé un jour de sermon. Avide, elle se jeta dessus et l’enfourna immédiatement jusqu’à la garde. Sa bouche était douce et chaude autour de ma verge, je savourai le plaisir instantané qui montait dans mon ventre.
— Je suis bien contente que vous ayez pensé à moi, murmura-t-elle entre deux coups de langue sur mon gland. J’avais un peu peur du pénis de Monsieur Labitemba. Mon métier n’est pas toujours facile, vous savez…
J’approuvai d’un haussement d’épaules tout en posant mes mains sur la tête de la belle afin de l’encourager à reprendre sa fellation d’une façon plus intense. Je n’avais pas forcément envie de discuter maintenant, même si au fond je commençais à me demander en quoi consistait au juste son « métier »…
Un peu plus loin, Agathe tentait une performance physique digne d’un Guinness Book en se plaçant à califourchon sur la bite énorme de Labitemba. Karen tenait l’engin et le guidait vers la chatte dégoulinante de la Française pendant que celle-ci faisait descendre doucement son bassin en poussant un petit cri à chaque ...
... fois que le monstre entrait de quelques centimètres supplémentaires en elle. Détail curieux, elle tenait toujours la théière contre sa poitrine : elle gardait un certain sens des priorités.
Aurélie me suçait comme une déesse, ses mains caressaient mon corps, s’attardaient sur mes couilles pendant qu’elle enfournait ma queue avec un rythme parfait. Des hurlements emplissaient le souterrain, Agathe criait sa jouissance en montant et descendant sur le bazar de Labitemba pendant que Karen s’était installée entre les jambes du couple et léchait alternativement les couilles de l’homme et le pubis de la femme. Je sentis le plaisir prêt à jaillir, je commençai à grogner, j’allai jouir, c’était presque là, ça…
— Arrêtez de frotter cette théière ! cria Aurélie en se jetant sur Agathe.
— Ben, et moi alors ? dis-je alors que ma bite au bord de l’éjaculation était secouée de spasmes de plaisir.
Les deux filles roulèrent l’une sur l’autre pendant que je restais comme un con en me demandant ce qui était en train de se passer. Seule Karen semblait garder un minimum de bon sens : elle se jeta sur la queue de Labitemba et se remit à la sucer.
— Quelqu’un peut me dire ce qui se passe ? demandai-je tout en empoignant ma queue afin de me terminer à la main.
— Don, arrête de te branler et va les séparer, cria Karen avant de reprendre en bouche Labitemba qui se contenta de dire en me regardant :
— Celui qui jouit perd une partie de son âme !
Karen fut prise de quintes de toux et ...