1. Don Booth et la théière disparue


    Datte: 10/04/2018, Catégories: h, fh, fff, fffh, couple, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... énorme de Labitemba.
    — Elle a raison, ajouta Agathe, elle doit bien faire trente-cinq centimètres. Un tel monstre se refuse difficilement. Je suis curieuse…
    — Eh bien, laissez-moi cette théière et sucez cette queue, dit Sauyères.
    — Pourquoi je vous la laisserais ? J’ai payé de ma personne, je vous signale !
    — Et moi, j’ai fourni la torche !
    
    Il marquait un point ! Du coin de l’œil, je voyais Karen qui essayait de prendre en bouche l’énorme bazar de Labitemba, avec pas mal de difficultés…
    
    — Je me permets de préciser que sans mon action, nous n’aurions pas découvert le souterrain, dis-je avec une pointe de fierté.
    — Et sans moi, vous… essaya d’ajouter Joe l’Indien avant de s’apercevoir qu’il n’avait servi à rien dans cette affaire et de fermer sa bouche.
    — Trouver la théière est une chose, intervint Aurélie. Trouver le coupable du vol en est une autre.
    — Celui qui prend du plaisir relâche sa concentration, dit Labitemba.
    — Il veut dire que le coupable est un jouisseur, commenta Sauyères.
    — Non, il veut juste dire qu’il n’en a plus rien à foutre de ce qu’on raconte depuis que l’assistante de Booth lui taille une pipe, répondit Joe.
    
    En tournant la tête, je vis dans la lueur de la torche que Karen était effectivement très occupée. Comment avait-elle fait pour enfourner cet énorme truc dans sa bouche ? En même temps, elle avait toujours eu une grande gueule…
    
    — De toute façon nous ne trouverons pas le coupable ici, précisa Joe. Vu que nous connaissons la sortie, ...
    ... ne pourrait-on pas aller prendre un peu l’air et réfléchir à tout cela ? Ce serait bon pour le karma de respirer un peu d’air frais.
    — Je sens que la vérité est proche pourtant, dit Sauyères. Ah, merde, c’est dégoûtant !
    
    En tournant la tête, je voyais la bouche de Karen totalement déformée par l’énorme truc qu’elle essayait de pousser dans sa gorge. Agathe s’était assise d’un côté et caressait les couilles de Labitemba, et celles-ci étaient proportionnelles à la bite du gaillard, elles étaient grosses comme des citrons. Aurélie caressait alternativement les deux filles, comme pour les encourager. Je ne comprenais pas trop la réaction du Canadien, moi ça m’excitait follement.
    
    — J’en ai assez vu, dit Joe, je sors d’ici.
    
    Il se dirigea à tâtons dans l’escalier et ajouta :
    
    — La sortie est juste là, je vois la lumière !
    — Laissez-moi la torche et suivez-le, dis-je à Sauyères.
    — Et vous ?
    — Je reste, je ne peux pas laisser les filles seules, on ne sait jamais…
    
    Sauyères hocha la tête en jetant un nouveau coup d’œil révulsé à la poutre de Labitemba. Il me confia la torche et je l’entendis rejoindre Joe dans l’obscurité de l’escalier. Je me tournai vers les demoiselles aux prises avec le monstre.
    
    Karen suçait le gland, Agathe recouvrait de léchouilles la hampe et les couilles, Aurélie avait l’air de s’ennuyer en regardant les deux autres, je décidai d’en profiter. Je posai la torche de façon qu’elle nous éclaire et m’approchai de notre hôtesse, mais là j’eus une ...
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