1. Don Booth et la théière disparue


    Datte: 10/04/2018, Catégories: h, fh, fff, fffh, couple, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... sortir son outillage !
    — Quoi il a déballé sa bite ?
    — Mais non, Booth. Son matériel ! Des pinces ! Il en avait des dizaines dans ses poches. Des pinces qui vous prennent la peau et vous la serrent comme un crabe. Des pinces spécialement adaptées pour les tétons. Des pinces qu’on vous enfonce dans le cul et qui vous mettent l’anus à l’envers, des pinces à couilles qui vous font défaillir… Brrrrr ! C’était trop pour moi, j’ai voulu l’arrêter. On s’est battu, et il m’a poussé violemment contre un mur. Et après, je n’ai pas très bien compris, c’est comme si j’étais passé à travers la maçonnerie !
    — Comme pour nous, Don s’est jeté sur moi la bite à l’air et…
    — Hey ho ! Ne me faites pas passer pour le satyre de service, vous étiez toutes à vous gouiner sans vergogne, je vous signale !
    — Bon, on ne va pas passer le reste de la nuit ici. Aurélie, une idée pour sortir de ce trou ?
    — J’avoue que j’en suis au même point que vous, je ne connais rien à ces souterrains.
    — Il y a un couloir là-bas, intervint Sauyères, mais je ne sais pas trop où il mène. J’allais l’explorer lorsque vous avez débarqué.
    — OK, allons-y !
    
    Et Agathe prit la tête du groupe, immédiatement suivie par Sauyères dont la torche semblait plus éclairer les fesses nues de l’espionne que le chemin. Je me consolai en sentant la présence de Karen devant moi et d’Aurélie juste derrière.
    
    — Les interrogatoires du yakuza ont donné quelque chose au moins ?
    — Même pas ! Le personnel n’a visiblement rien à voir ...
    ... là-dedans, cette piste ne menait nulle part.
    — Ils ont pourtant l’air sacrément bizarres !
    — Don, intervint Karen, je t’ai dit de ne pas te moquer d’eux comme ça, ils ont peut-être une apparence qui ne te plaît pas, mais ce n’est pas pour autant qu’il faut…
    — Chut, coupa Agathe. Il y a quelque chose qui bouge devant nous !
    — Oui, affirma Sauyères, j’entends aussi. Un bruit de raclement. Il faut…
    — Qui est là, demanda une voix teintée d’accent.
    — Moi, répondit le Canadien en faisant en sorte que la torche éclaire bien son visage.
    — Tom Sauyères !
    — Joe l’Indien, répliqua l’intéressé en voyant la silhouette du commissaire de Bombay se découper dans la lumière jaunâtre.
    — Bon sang, mais la moitié du château s’est donné rendez-vous dans ces souterrains !
    — Je suis enfermé, pouvez-vous m’aider ?
    
    J’allai donner un coup de main à Sauyères pour pousser la grille qui bloquait le passage, ne me privant pas pour frôler de façon appuyée les hanches nues de la belle Française en passant près d’elle.
    
    — Mais pourquoi êtes-vous nus ? demanda l’Indien.
    — Trop longue histoire, répliquai-je, aidez-nous au lieu de parler. Poussez vers la gauche !
    
    Dans un craquement sinistre, la grille tomba sur le côté, délivrant le commissaire.
    
    — Comment êtes-vous arrivé ici ? demanda Agathe.
    — À n’y rien comprendre. Je faisais un relevé d’empreintes dans la salle de musique, et puis j’ai senti une violente poussée dans le bas de mon dos. J’ai percuté un mur et… vous ne me croirez jamais, je ...
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