1. Don Booth et la théière disparue


    Datte: 10/04/2018, Catégories: h, fh, fff, fffh, couple, bizarre, hotel, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, Partouze / Groupe Humour policier, Auteur: Yuri Netternich, Source: Revebebe

    ... des paupières comme s’il était victime d’une hallucination.
    
    — Mais que faites-vous là ?
    — Et vous ?
    — Mais c’est ma chambre, quoi de plus normal que je sois dans ma chambre ?
    — Mais ce cinéma-là, avec la fumée et le rap, ça rime à quoi ?
    — Cinéma ? Rap ? Mais vous êtes fou ou quoi ? Je méditais !
    — M’en fiche que vous éditiez ! Je ne vois de toute façon pas comme publier un livre en restant assis par terre…
    — Oui, vous êtes fou, c’est bien ce que je disais… Sortez immédiatement de ma chambre !
    
    Je me fis la remarque que décidément personne ne semblait vouloir de ma compagnie aujourd’hui et je quittai la pièce à tâtons à travers les volutes de fumée. Après tout, le destin de Van Zoob m’importait peu, qu’il retourne à ces trucs de sorcière, ce n’était certainement pas ça qui allait l’amener quelque part dans cette enquête. Il me fallait retrouver les filles.
    
    J’avais beau me dire qu’aucun des détectives engagés par cet étrange commanditaire ne pouvait avoir volé la théière, je trouvais tout de même cette histoire assez louche. Mon sens de l’observation exacerbé avait noté que personne dans l’hôtel Overlook ne semblait vraiment clean. Jonathan et Jennifer Hurt et leurs défonces annales bestiales un peu n’importe où, Takano et sa froideur cruelle, Tom Sauyères qui semblait avoir la brutalité d’un ours enragé qui viendrait de se faire piquer la gueule par une guêpe, Van Zoob et ses étranges rituels, les domestiques qui paraissaient sortir d’un nanard de série Z, et ...
    ... ne parlons pas de ce crétin de Dob Nooth…
    
    La porte de la chambre 105 apparut à moi au détour d’un couloir comme une illumination surnaturelle venant éclairer mes pas. J’avais l’impression d’avoir parcouru plus d’un kilomètre pour y arriver, mais impossible, l’hôtel n’était pas si grand, non ? Bon sang d’architecture tordue !
    
    J’ouvris la porte en grand et je restai interdit sur le seuil de la pièce. Il s’agissait d’une vaste chambre meublée de façon aussi luxueuse que les autres, le sosie presque parfait de celle dans laquelle les Anglais avaient copulé tout à l’heure. Et là, sur le lit… oh Sainte Mère de Dieu ! Mes rêves devenaient réalité !
    
    Karen, Agathe, Aurélie… toutes les trois plus nues les unes que les autres, magnifiques et somptueuses, plongées dans un trio charnel du plus bel effet ! Karen était à quatre pattes sur le lit, et d’où j’étais, j’avais une vue magnifique sur son cul bien cambré. Elle broutait consciencieusement le minou d’Agathe, allongée sur le dos, pendant qu’Aurélie, à califourchon sur le visage de l’espionne française, lui présentait son propre entrejambe. La chambre s’emplissait de leurs gémissements alors qu’elles s’abandonnaient aux caresses. Mon fantasme devenait une réalité, j’étais au paradis, la bouche grande ouverte, les yeux écarquillés, c’était trop beau pour être vrai ! Mais c’est alors que je me rendis compte que les trois belles avaient cessé leurs jeux et me regardaient comme trois vaches regardent passer un train… Mon arrivée ...
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