L'autre - Histoires de Sexe

L'autre

... l’art de la sodomie, même si elle était souvent pratiquée avec des hommes, me permettait de bien connaître les techniques les plus suaves et les plus jouissives.

Je sentis ma compagne se contracter, ce qui me procura une sensation délicieuse. Mon sexe, déjà à l’étroit, se trouva encore plus intimement comprimé. Tout de suite après elle jouit très violemment en m’expulsant presque de son antre. J’ai gardé la prise en la maintenant par les hanches jusqu’à ce que je décharge en elle.

Je ressortis lentement avec précaution de son anus d’où coulait mon sperme. Nous nous sommes affalés sur le lit, l’un contre l’autre. Après une longue pause, elle me dit :

— Marc, s’il te plaît, ne me prends plus jamais comme ça.
— Excuse-moi, je me suis égaré.
— Oh, tu n’es pas totalement fautif. Moi aussi j’avais très envie de sentir ta queue dans mon cul. Tatiana m’a assuré qu’elle y prenait beaucoup de plaisir avec Gérard. Mais la sensation est finalement trop douloureuse, bien que ma jouissance ait été terrible. Ce n’est pourtant pas la première fois que je me fais enculer. L’Allemand que j’ai suivi dans son pays, il a voulu me prendre ainsi sans y parvenir. Puis un amant français, lui, a réussi, et j’ai subi un véritable martyre. Avec toi, j’ai eu mal, mais heureusement j’ai joui tout de même. J’ai beaucoup de peine à concevoir qu’on puisse grimper au septième ciel dans la souffrance. J’estime que le jeu n’en vaut pas la chandelle.
— Ne t’inquiète pas, ma chérie, je respecterai ...

... ton choix. Je suis désolé de t’avoir fait mal. Ce n’était pas ma volonté.
— Tu sais, Tatiana me raconte parfois des expériences sexuelles qui sur le coup me tentent ; mais, à la réflexion, je ne suis pas prête à la suivre.

Il y eut un grand silence avant qu’elle reprenne :

— Il faut que je t’avoue quelque chose, mon amour.
— Je t’écoute.
— J’espère que tu ne seras pas fâché. Voilà : j’ai eu une relation avec Tatiana.
— Je sais, ma chérie.
— Comment le sais-tu ?
— Je vous ai vues en rentrant cet après-midi.
— Tu nous as observées ?
— Non. C’est en allant dans notre chambre que j’ai découvert un magnifique spectacle de deux filles se donnant du plaisir. Le temps que je revienne de ma stupeur, je suis reparti pour vous laisser finir vos ébats.
— Ah bon, tu n’es pas fâché ?
— Pourquoi ? Je trouve au contraire cela formidable que ma copine baise avec la copine de mon amant. Je n’ai rien contre ; je suis même ravi de la situation. Je ne pensais pas que cela puisse se produire ; je pensais que vous étiez bien trop hétérosexuelles pour aller sur les rives de Lesbos. Mais force est de constater qu’on ne peut rien prédire.
— Oh, chéri, cela me fait plaisir que tu le prennes comme cela. Tu sais, je t’aime tout autant, peut-être même plus qu’avant ces rapports saphiques avec Tatiana.
— Mais comment êtes-vous devenues amantes ?
— Oh, c’est très récent. Aujourd’hui ce n’était que la seconde fois que nous faisions l’amour ensemble.

Le récit d’Alexandra :

Gérard a ...