L'autre - Histoires de Sexe

L'autre

Résumé des épisodes précédents : Marc et Gérard, bisexuels, ont emménagé dans une maison où ils ont chacun leur appartement, à l’exception de la cuisine qui est commune. Marc a rencontré Alexandra qui accepte la bisexualité de son copain.

Je constatais que Gérard n’avait pas le moral. Il tentait de nous cacher ses soucis, mais le connaissant très bien, je sentais que quelque chose n’allait pas. Il finit par me confier le fond de sa pensée :

— Je prends beaucoup de plaisir à baiser avec toi, Marc. Tu m’as initié à ces amours entre des personnes de même sexe. Mais pourtant la présence d’une femme à mes côtés me manque. Je suis bisexuel. Toi, tu as trouvé Alexandra.
— Un jour, tu trouveras une compagne également. J’en suis certain.
— Je ne sais pas. Trouver une fille comme Alexandra, c’est exceptionnel. C’est peut-être parce qu’elle a vécu outre-Rhin plusieurs années. L’esprit germanique est certainement plus libre et plus ouvert ; il a déteint sur elle. Elle était plus encline à accepter tes relations sexuelles dans leur ensemble.

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Un jour, Gérard nous dit qu’il avait rencontré une copine, Sandy, et qu’il lui avait annoncé d’emblée qu’il était bisexuel et qu’il habitait dans une maison mitoyenne de celle de son amant (moi) et de la compagne de celui-ci.

— Cela ne lui pose aucun problème, nous dit Gérard. Elle est très ouverte sur tout ce qui est sexualité. Elle n’a rien contre l’homosexualité, qu’elle soit masculine ou féminine. Sur le ...

... coup, elle a rigolé, puis elle m’a dit « Pourquoi pas ? »

Très ouverte, Sandy l’était, et surtout très sexy. Je dirais même trop sexy. Elle arriva avec une robe tellement dénudée dans le dos qu’on pouvait apercevoir la naissance du sillon de ses fesses (avec un string noir), très courte et échancrée, nous laissant parfois entrevoir cette même couleur du string et, comme elle ne mettait pas de soutien-gorge, ses lolos qui ballottaient au moindre de ses mouvements. De plus, ceux-ci étant particulièrement proéminents – comme les aimait Gérard – leur mouvance ininterrompue et incontrôlée était particulièrement impressionnante.

Je sentis que le courant avec Alexandra ne passait pas. Pourtant ma chérie faisait absolument tout pour que Sandy puisse avoir l’impression d’être la bienvenue. Elle la trouvait trop vulgaire aussi bien dans ses attitudes, ses postures, sa façon d’être, que dans ses propos. Même si je ne le montrais pas, je ressentais la même chose. Je n’avais rien contre le fait que Sandy se soit habillée sexy, mais là c’était trop voyant ; elle avait franchi la ligne jaune qui sépare la tenue sexy, mais élégante, de la tenue vulgaire et disgracieuse.

Lorsque nous nous sommes retrouvés dans notre chambre, Alexandra et moi, elle me demanda :

— Comment as-tu trouvé la nouvelle copine de Gérard ?
— Physiquement, elle n’est pas du tout mon style. Je n’ai pas d’attirance pour les gros nichons qui ballottent en tous sens et qui ne tardent jamais à s’affaisser et…
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