1. La soirée d'Élodie


    Datte: 26/06/2020, Catégories: fhhh, grp, hplusag, inconnu, danser, fête, fsoumise, hdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, sm, Auteur: Élodie 3, Source: Revebebe

    ... Bernard.
    
    J’étais confuse, rouge de honte et contrainte de lever les yeux. Je vis alors leurs regards illuminés et je m’aperçus que nous étions rejoints par trois autres couples, un peu plus jeunes. Je me retrouvai au centre du groupe, exhibée en quelque sorte. Bernard expliqua à Marc-Antoine et à Odette qu’il me considérait comme une femelle soumise et disponible. Il me demanda ensuite de faire un tour sur moi-même, ce que je fis. Au fur et mesure qu’il parlait, cette situation d’exhibition forcée m’excitait terriblement, et telle une automate j’obéissais sans même réfléchir aux conséquences de mes actes. En fait, mon corps avait faim de jouir et instinctivement commandait mes réactions. Je ne n’étais plus un être humain normal, j’étais la femelle de Bernard, je sentais que j’étais terriblement humide et j’avais une énorme envie d’être prise. J’étais incapable de réagir autrement.
    
    J’entendis comme dans un rêve Bernard expliquer que je n’étais qu’une femelle en chaleur, et que si l’une de ces dames voulait faire un petit cadeau à son mari chéri, cet heureux élu pourrait constater ma soumission. Cette proposition fit beaucoup rire les quatre femmes qui m’entouraient ; les avis étaient partagés et cela anima une petite discussion. Perdue dans un état second je ne distinguais plus leurs paroles, je ne percevais plus que la voix de Bernard, comme si j’avais été hypnotisée.
    
    Enfin le bruit de fond des voix de femmes s’arrêta et j’entendis distinctement la fin de ...
    ... l’échange entre Odette et Bernard. Odette acceptait la proposition et demandait à son mari Marc-Antoine de constater ladisponibilité de la femelle.
    
    Marc-Antoine est un homme ayant franchi le cap de la cinquantaine, cultivant un style gentleman anglais. Il s’approcha de moi pendant que les autres fermaient le cercle.
    
    — Tu crois qu’elle est très humide ? demanda Odette à Bernard.
    
    Marc-Antoine fléchit pour glisser sa main entre mes jambes. Instinctivement je repris la position que j’avais devant Bernard dans le petit bureau, et j’entendis Bernard me féliciter. La main remontait le long de ma jambe en entraînant ma robe, dévoilant ainsi aux autres le haut de mes bas et mes cuisses. Elle arriva au contact de mon sexe. Comme l’avait fait un peu plus tôt Bernard, Marc-Antoine me fouilla un peu en écartant mes lèvres intimes.
    
    — Elle ruisselle, la salope, dit-il.
    
    Il continuait d’explorer mon intimité, encouragé par sa femme qui lui demandait de commenter son exploration, ce qu’il faisait avec élégance, sans mots crus. Odette lui demanda ensuite de s’interrompre pour laisser la place à un autre. Je sentis avec regret sa main quitter mon intimité car je n’avais toujours pas joui. Les voix autour de moi étaient feutrées, le cercle bien fermé, les autres invités semblaient ne pas voir. Bernard demanda aux trois autres femmes si elles souhaitaient faire le même cadeau à leur chéri.
    
    Derrière moi j’entendis un oui discret, je me retournai et je vis une jeune femme ayant la ...