1. La soirée d'Élodie


    Datte: 26/06/2020, Catégories: fhhh, grp, hplusag, inconnu, danser, fête, fsoumise, hdomine, humilié(e), contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, sm, Auteur: Élodie 3, Source: Revebebe

    ... baissée. J’étais prête à tout accepter, car la jouissance commençait à venir. Mais il ôta brusquement sa main, me laissant ainsi dans l’attente du plaisir.
    
    — Cette femelle est disponible pour la saillie, dit-il.
    
    Il se leva et me fit m’agenouiller, en appuyant sur ma tête. Il me demanda, de manière très crue, de sortir son sexe pour le sucer. Je l’ai pris en bouche et l’ai sucé avec avidité. J’ai passé le bout de ma langue sur son prépuce décalotté, je l’ai pompé et quand il fut sur le point de jouir, j’ai senti son sexe palpiter. Mais au lieu de pénétrer plus fort ou de sortir, comme le fait mon mari, il se mit au bord de mes lèvres pour gicler abondamment. J’en avais plein la bouche !
    
    N’appréciant pas trop le goût du sperme, et le sien n’étant pas particulièrement goûteux, je n’ai pas pu réprimer mes sentiments et j’ai fait la moue. Mais je dus sur son ordre avaler sa semence particulièrement âpre puis nettoyer son sexe avec ma langue, ce qui prit un peu de temps car après la jouissance il était très sensible et moi j’avais un peu de mal à avaler cela !
    
    Il m’interdit de me rincer la bouche, et je dus garder ce goût désagréable.
    
    En retournant vers la salle de danse, je m’aperçus que ma robe glissait. Discrètement, je tentai de la remonter. Il s’en aperçut et me réprimanda. J’essayai vainement de gonfler la poitrine pour limiter la descente, mais à mon arrivée dans la salle j’avais l’impression d’avoir les tétons dégagés. Je n’osai pas m’en assurer par ...
    ... moi-même et je regardai les autres personnes pour déceler dans leur regard l’effet de ma tenue.
    
    Il me fit à nouveau danser. Profitant de la pénombre lors de l’un des rares slows, il me caressa les fesses en insérant sa main sous ma robe. Je fermai les yeux car c’était agréable mais je n’osai croiser le regard des autres danseurs. Blottie contre lui, la robe probablement remontée par sa main jusqu’à mes fesses, je me laissai conduire. Je me sentais bien et je le laissai faire.
    
    La petite série de slows achevée, la lumière revint. Il retira sa main et m’entraîna dans la salle du buffet. Je ne voyais toujours pas mon mari. Nous avons rejoint un couple, la cinquantaine, visiblement connus de Bernard qui les appela par leurs prénoms : Odette et Marc-Antoine. On nous servit une coupe de champagne. Odette félicita Bernard pour le choix de sa cavalière.
    
    — Ce n’est pas ma cavalière, c’est une femelle que son mari m’a confiée, lui répondit Bernard.
    
    Très embarrassée par la tournure du dialogue, j’ai tenté de sourire et je me suis mise à regarder le sol.
    
    — Tu as vu, elle ne cache pas ses tétons. Comme ils sont longs ! dit Odette à son mari.
    
    Là je réalisai que le haut de ma robe avait glissé et que mes seins étaient en grande partie visibles.
    
    — Ce sont des mamelles, que j’ai fait gonfler il y a quelques jours, lui répondit Bernard. Cette réplique les fit rire, moi j’aurais voulu m’échapper.
    — Salope, lève la tête et regarde Marc, je veux qu’il voit ton visage, me dit ...