1. Le passé recomposé


    Datte: 10/04/2018, Catégories: fh, ff, fhh, couple, cocus, hotel, chantage, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... métallique qui se sépare. Ma robe tombe à terre. « IL » s’en saisit, et je soulève les pieds pour ne pas la piétiner.
    
    Le silence. Rien ne se passe. « IL » doit regarder. Pourtant, « IL » sait ce que je porte sous ma robe, puisque c’est « LUI » que m’a envoyé l’ensemble. Un blanc vaporeux, dentelle, qui laisse passer le sombre de ma peau pour mieux contraster encore. Et puis une main. Une autre. Elles sont douces. Sur mes épaules, puis passent derrière pour dégrafer mon soutien-gorge. Les doigts qui se saisissent des bretelles pour leur faire passer l’arrondi de l’épaule et la pente vertigineuse des bras semblent éthérés. Pourtant, lorsque mes seins en découvrent la chaleur, j’en frissonne à nouveau. « IL » survole ma poitrine, effleure le grain de ma peau, titille mes tétons d’une paume délicate. J’aime cette façon de ne pas y toucher, caresses si peu appuyées et pourtant si présentes. Je n’ai pas besoin de voir pour imaginer que mes seins gonflent et que mes tétons pointent. D’ailleurs « IL » s’en saisit et les tord doucement.
    
    — Ffffffff…
    
    C’est le souffle qui sort de mes lèvres. Souffle et respiration qui s’accélèrent. Ma sensibilité est à fleur de peau. Mais les mains abandonnent ma poitrine. Elles descendent le long de mon ventre pour passer le mince élastique qui retient les rubans où sont accrochés mes bas. Elles ignorent le porte-jarretelles qu’« IL » voulait que je porte pour découvrir le triangle qui cache à peine mon intimité. Triangle que seules quelques ...
    ... ficelles retiennent. Des ficelles qui se dénouent pour me laisser nue devant son regard.
    
    Son regard, mais pas seulement, car alors que ses mains se plaquent sur mes fesses, je sens une chaleur près de ma fente. Une chaleur, avant-garde d’une bouche, de lèvres et d’une langue qui partent à l’aventure.
    
    Ainsi, « IL » est à mes genoux et me suce. C’est bon, délicat, excitant. Combien de fois Paul m’a caressée de cette façon ? Des centaines. Mais ici, tout est différent. Dans cette chambre, aveuglée, avec la consigne de ne rien faire alors que j’ai une envie folle de saisir sa tête pour mieux la guider, tout est différent.
    
    « IL » aspire mon clito pour mieux le sucer. « IL » lape ma fente et n’hésite pas à pousser vers mon petit trou. Je n’ai pas le droit de bouger, mais mon corps ne m’obéit pas et je fléchis les jambes pour mieux m’ouvrir à ses caresses. Pourtant je sens qu’« IL » me quitte, mais c’est pour me faire reculer un peu afin que je découvre le bord du lit et que je m’y allonge.
    
    La caresse reprend. C’est bon de se faire lutiner par l’homme de sa vie ! Un homme si généreux et confiant… Un homme qui me suce divinement, poussant mes cuisses pour avoir accès au plus profond de ma fente. Sa langue est un serpent qui ondule. Ses lèvres étreignent mon bouton pour l’extraire de sa protection. Un bouton que je sais assez grand pour attirer la caresse des hommes. Mais ce n’est pas tout. Les mains sont de la partie. Elles vont. Elles viennent. Elles survolent, s’arrêtant ...
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