1. Les 1001 perversions de Nathalie (15) - En mal de mâle


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... finalement, elle le fait venir, un soir tard. Il n’y a plus qu'eux à l’étage. Félix a étalé ses dossiers et papiers sur le bureau.
    
    Elle se lève et retrousse sa jupe, pour s’asseoir face à lui, sur ses papiers. Elle ne sait pas s’il a une mine décomposée à cause de ce qu'elle lui montre, ou des dégâts probables. Il n’ose pas s’approcher. Elle ouvre les jambes, son sexe à la hauteur du sien.
    
    Il s’avance. Elle baisse sa braguette et tire sa bite hors du pantalon, puis ses couilles, coincées par l’étroite ouverture de sa braguette. Elle le prend par la queue pour le guider jusqu’à son trou. Il lui ouvre son chemisier pour voir et palper ses seins durs et gonflés.
    
    Il entre d’un coup en elle et il commence à donner des grands coups de reins. Sa queue glisse dans son vagin, ses couilles tapent entre ses fesses. Elle le repousse, contourne le bureau pour faire face à la baie vitrée et elle s'allonge, les jambes pendantes, le cul en l'air.
    
    Sans attendre, il vient entre ses fesses. Sa queue glisse dans sa raie baveuse de ses sécrétions. Il la lui fourre dans la vulve.
    
    - Non, dans le cul !
    
    Il la retire pour placer le bout contre son anus. Son trou se déplisse tout seul, sa grosse queue au gland épais la force d’un coup, sans ménagement.
    
    C’est tout ce qu'elle veut. Elle jouit presque aussitôt. Pas lui. Elle le termine en le suçant. Il éjacule alors qu'elle va avoir un second orgasme, terriblement excitée de sucer cette queue qui sort de sa chatte et de son ...
    ... cul.
    
    Mais un beau jour, Félix se retrouve à l’étage supérieur, dans un autre service. Cela met fin à leurs relations, car elle ne veut pas le voir ailleurs. C’est le risque d’être surpris qui l’excite le plus.
    
    Alors, de plus en plus souvent, elle retourne traîner du côté de la banlieue. Elle va dans les bars louches, où elle trouve des Arabes ou des Noirs. Il lui suffit d’attendre, souvent très peu de temps, qu’un homme lui propose de le rejoindre dans les toilettes, ou sous un porche, dans la rue.
    
    Ça l’excite. Il la baise, sans même lui retirer sa culotte, tirant juste sur l’élastique pour mettre sa fente à l’air. Car elle met une culotte, ces soirs-là. Pour qu’on la lui arrache, ou qu’on tire dessus pour glisser un gros membre dans son con, ou son cul.
    
    À son mari, elle raconte qu'elle est allée au cinéma, pour se distraire un peu. Elle prend sa douche, comme d’habitude, avant de le retrouver au lit. Là, elle se laisse faire. Et lorsqu'il lui met sa bite dure dans le vagin, allongée, les yeux fermés, les cuisses grandes ouvertes, ce n'est pas à lui qu'elle pense, mais aux grosses bites des Arabes. Elle jouit encore plus fort quand il éjacule, excitée de penser que peu de temps auparavant, une autre bite, énorme, inconnue, giclait entre ses fesses.
    
    Le soir, lorsqu'il lui arrive de travailler tard pour terminer un dossier, il n’est pas rare qu'elle rencontre l'équipe de nettoyage. Le chef d'équipe se fait appeler Saïd et la fait penser à Houssam. Même barbe noire de trois ...