Les 1001 perversions de Nathalie (15) - En mal de mâle
Datte: 24/06/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Egrewam, Source: Hds
"Tout a une fin... Et j'ai encore faim !". Nathalie ne peut s'empêcher de sourire à ce jeu de mots bon marché qui lui vient à l'esprit. Son corps est repu, gavé par ces jours de jouissances quasiment ininterrompues avec Léa, Marc et Juan. Mais dans sa tête, une suite désordonnée de souvenirs obscènes se succèdent et entretiennent un état d’énervement qui ne s’apaise pas…
On a apprécié son travail, elle a eu une promotion, on l'a installée dans un bureau luxueux. La seule chose qu'elle n’aime pas est la grande baie vitrée par laquelle elle voit la totalité de son service. Aucun geste de ses collaborateurs ne peut lui échapper… mais elle ne peut rien faire sans être, elle aussi, vue par eux.
Les autres cadres sont d’un ennui mortel. Elle passe ses journées avec un slip trempé en permanence, et le sentir mouillé l’excite encore plus Elle fantasme : derrière cette vitre, elle imagine des voyeurs. Elle s'exhibe à eux, elle se branle pour eux et ils font de même en la regardant.
Elle réalise son fantasme exhibitoire les rares jours où son mari est absent. En face de son immeuble, un chantier de construction est mis en cours.
Elle allume toutes les lampes du salon, s’approche de la baie vitrée, soulève sa jupe en plaquant son ventre contre le verre.
A peine s'est-elle placée dans cette posture indécente qu’une dizaine d’ouvriers se regroupent sur l’échafaudage en face. Elle se frotte les cuisses et le ventre à la vitre froide, en roulant des hanches. Les regards des ...
... hommes braqués sur elle l’excitent. Elle mouille sa culotte. Elle écarte les cuisses, se cambre, se laisse glisser à genoux, très largement ouverte.
Les hommes la fixent. Certains ont placé la main à la braguette. D’autres ont introduit la main dans la poche. Tous se branlent. Ils échangent des propos salaces sur son compte.
Elle retire sa culotte, assise sur le sol, cuisses relevées. Plaçant ses mains de chaque côté de son sexe, elle ouvre sa fente, largement. Du plat de la main, elle fait rouler ses lèvres gluantes, avant d’introduire ses doigts dans son vagin.
Les hommes, alignés en face d'elle sur leur échafaudage, ne se tiennent plus. Ils agitent les mains sur la toile de leur pantalon, et se secouent la queue au travers du tissu. Deux d’entre eux ont carrément sorti leur bite, et se branlent sans se gêner.
Elle se met à quatre pattes et tend son cul en direction des ouvriers, le remuant comme une chienne. Elle écarte ses fesses à pleines mains, pour qu’ils puissent bien voir ses deux trous épanouis. Elle enfonce ses doigts dans sa chatte et se branle sans quitter du regard le troupeau de mâles, qui auraient bien aimé la lui mettre.
Elle saisit un gode et se l'introduit dans la chatte. Les hommes en face deviennent fous. Elle ne les quitte pas des yeux. Elle leur adresse des sourires complices. Elle les aurait voulus ici, et qu’ils la prennent tous. Elle fait aller la bite dans son vagin. Elle jouit à plusieurs reprises. Elle ne peut plus s’arrêter. Une ...