1. Paul, l'ami septuagénaire de papy (1)


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Divers, Auteur: lubrique, Source: Xstory

    ... m’a également dit que tu suces régulièrement certains copains de l’école.
    
    Il me parlait et sa main ne cessait de me caresser, jusqu’au moment où il glissa un doigt dans ma fente qui, je le reconnais, était tout humide.
    
    Cela a duré un certain temps, j’avais fermé les yeux et je n’avais aucune envie de partir.
    
    Il a retiré sa main et s’est redressé en me disant sur un ton assez sec :
    
    — Lève-toi et déshabille-toi entièrement.
    
    Avec papy, généralement, nous faisons cela dans une certaine pénombre, là, la lumière du jour inondait la pièce et ce n’était certainement pas le léger voile des rideaux qui allaient me dissimuler à la vue des passants. Je le lui ai dit et il m’a répondu qu’à cette heure-là, il n’y avait personne qui passait. A ce moment-là, je n’ai même pas réalisé que ce qu’il disait n’était que foutaise et je me suis dévêtue.
    
    Lorsque je fus totalement nue, il a pris ma petite culotte et l’a posée sur son visage, il la sentit, et me fit la remarque qu’il y avait une petite odeur d’urine; " mais j’apprécie ", a-t-il dit.
    
    Honnêtement, j’étais un peu mal à l’aise, nue devant cet homme (71 ans), mais je n’avais pas peur. Je savais ce qui allait se passer et cela ne me dérangeait pas. Au contraire, j’en ai même eu envie !
    
    J’ai donc fait comme généralement avec papy, je me suis agenouillée et ai entrepris de détacher le pantalon de Paul et de baisser son slip, puis j’ai directement mis son sexe en bouche.
    
    — Il m’avait bien dit que tu es une petite ...
    ... putain qui aime la queue, je ne le croyais pas, mais je constate qu’il ne mentait pas.
    
    Moi, je le suçais les yeux fermés, m’imaginant que c’était papy, à la seule différence que Paul avait une bien plus grosse !
    
    — Arrête.
    
    Je m’y suis allongée, mais il voulut que je me retourne et que j’écarte les jambes. Il m’a tirée jusqu’à ce que mes jambes pendent dans le vide puis a écarté mes fesses avec force afin de me lécher l’anus. J’aime bien quand on me fait cela, mais à cette époque, il n’y avait que papy.
    
    Quand il y a glissé un doigt, je lui ai dit que je ne voulais pas qu’il me prenne par-derrière. Il a rouspété un peu, mais je suis restée ferme en précisant qu’il n’y avait que grand-père qui pouvait me le faire.
    
    Il m’a doigtée de longues minutes, son gros majeur allant et venant et me faisant parfois mal.
    
    Ensuite, il est allé s’asseoir dans le fauteuil et m’a demandé de venir à califourchon sur lui. D’un coup sec, il est entré en moi !
    
    C’est moi qui donnais les mouvements, de plus en plus vite et de plus en plus nerveusement. Je ne me suis même pas rendu compte qu’on pouvait nous voir en passant devant la fenêtre, ce n’est qu’une fois terminé, et alors que je prenais ma respiration, que j’ai vu des gens passer.
    
    Je dois reconnaître que j’y ai pris beaucoup de plaisir, pourtant je n’ai jamais voulu recommencer avec Paul.
    
    Lorsque je suis repartie et suis retournée chez papy, avant même que nous n’échangions un mot, il m’a prise par la main et m’a emmenée ...