1. Paul, l'ami septuagénaire de papy (1)


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Divers, Auteur: lubrique, Source: Xstory

    Paul, un souvenir qui reste gravé.
    
    C’est grâce à mon grand-père que j’ai connu mes premiers émois de jeune fille, par des attouchements qui, avec le temps, sont devenus de plus en plus précis. Par la suite, alors que j’allais avoir 19 ans, il m’a fait découvrir l’art de la fellation puis du sexe.
    
    Mon mari et certaines personnes qui sont au courant m’ont questionnée, ont voulu connaître la manière dont il s’est pris, si j’avais été soumise à cela par obligation...
    
    Les premières fois, je ne m’étais même pas rendu compte de ses gestes qualifiés de "déplacés" pour beaucoup, mais tout doucement, alors que ses mains sur moi devenaient de plus en plus curieuses, je me suis rendu compte de ce qu’il faisait.
    
    Je savais, vu mon éducation, que ce n’était pas bien, mais dans le même temps, j’appréciais vraiment ce genre d’attentions qu’il me témoignait.
    
    Au final, je suis devenue sa maîtresse et le suis toujours occasionnellement.
    
    Mais aujourd’hui, je veux vous raconter comment il m’a "offerte" à son ami Paul.
    
    Il y avait presque 1 an que papy et moi "jouions" ensemble quand, alors que j’étais chez lui, il m’a demandé d’aller rapporter des outils chez Paul.
    
    — Je devais y aller, mais j’ai mal au dos et il compte dessus aujourd’hui.
    
    Je n’imaginais pas le piège qui m’était tendu, j’y suis allée bien naïvement.
    
    Lorsque je suis arrivée chez Paul avec le sac contenant les outils, je suis entrée chez lui sans crainte, car je l’avais déjà vu quelques fois chez mon ...
    ... grand-père. Il m’a demandé d’attendre, car il voulait voir si sa foreuse fonctionnait toujours. Il m’a invitée à m’asseoir et a branché la foreuse qui a démarré au quart de tour.
    
    — Tu veux un coca ? m’a-t-il demandé, j’ai accepté.
    
    J’étais assise dans un fauteuil très profond et j’ai vu son regard qui s’attardait sur mes jambes.
    
    Nous étions en août, il faisait extrêmement chaud et je n’étais vêtue que d’une petite jupe écossaise qui dévoilait mes jambes à mi-cuisses vu ma position au fond du fauteuil.
    
    J’ai voulu tirer sur le tissu pour la redescendre, mais malencontreusement, un pan s’est écarté et ce fut encore pire !
    
    Il a souri et s’est exprimé mot pour mot comme cela :
    
    — Ton grand-père a raison, tu as des jambes magnifiques.
    
    Un peu gênée, je l’ai remercié en pensant que papy avait de drôles de conversations me concernant.
    
    — Est-ce vrai ce qu’il dit concernant ta peau ? Qu’il n’en a jamais connu d’aussi douce ?
    
    J’ai senti une chaleur m’envahir, pas due à une excitation quelconque, d’ailleurs je ne saurais la définir.
    
    — Tu veux bien que je regarde si c’est vrai, a-t-il continué tout en s’approchant de moi et en posant une main sur ma jambe.
    
    Je suis restée immobile, ne sachant que penser ou que dire. Papy lui avait-il parlé de ce que nous faisions ensemble ?
    
    Quand sa main s’est aventurée jusqu’à ma petite culotte, j’ai voulu la retenir, mais il a insisté et l’a pénétrée.
    
    — Je suis au courant de ce que ton grand-père et toi faites ensemble, il ...
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