Lectures érotiques (22). John Flaherty-Cox : « Alicia » (Editions Blanche, 2007)
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Olga T, Source: Hds
... sentais comme dans un cocon, entourée d’une chaleur bienveillante, n’ayant plus besoin de penser à autre chose qu’à l’amour. (…) Au petit matin, nous étions encore dans les bras l’une de l’autre, en train de jouir pour la nième fois »
• Amoureuse
La manière dont Alicia parle de son amour pour Chou Li m’a évidemment rappelé ce que je vis avec Agun, ma femme, mon amour.
« La nuit avant son départ, nous avons fait l’amour avec moins de retenue que les fois précédentes. (…) Nous avons même utilisé mon sex-toy et je fus surprise par son expérience. Elle me baisa divinement bien et me fit jouir plusieurs fois, mais tant l’une que l’autre nous étions à la recherche d’autre chose, nous avions envie d’aller plus loin et l’idée de vivre ensemble faisait son chemin. Nous avons pu en parler avant son départ et cette mise au point nous rassura toutes les deux. Entre elle et moi naissait une grande histoire d’amour, nous en étions conscientes. (…)
Nous avons continué à échanger des mails et des SMS torrides. Elle (Chou Li) m’écrivait qu’elle avait envie de moi, qu’elle se souvenait de mes caresses, je lui répondais que je ne pouvais plus me passer des siennes et que sa bouche me manquait. Parfois elle me téléphonait la nuit, pour entendre ma voix. (…) Je me souviens des nuits où nous avons fait l’amour au téléphone. Le lendemain, je lui écrivais des lettres enflammées, auxquelles elle répondait de la même manière. »
• Couple
« Chou Li me fit signe de la suivre, me ...
... faisant comprendre qu’elle avait envie d’être seule avec moi. Nous sommes sorties de la galerie et avons fait quelques pas.
- Alicia, j’ai envie de faire l’amour
- Maintenant, tout de suite ?
- Oui tout de suite !
- Suis-moi.
(Les deux amantes se rendent dans un local annexe à la galerie)
Chou dégrafa le haut de sa robe et me donna ses seins à sucer. Leurs pointes étaient tendues, brulantes, arrogantes. Elle déboutonna mon corsage, caressa les miens en passant, puis glissa sa main sous ma jupe. J’étais déjà moite et prête à jouir sur ses doigts. J’ai relevé sa robe, elle ne portait pas de sous-vêtements. Debout contre la porte, bouches jointes, nous nous sommes caressées jusqu’à ce que le désir nous submerge. Je me sentais prête à tout faire pour satisfaire le sien, je faisais courir mes doigts sur son clitoris à une vitesse folle, cherchant à la faire jouir immédiatement. Elle criait tellement fort que j’étais obligée de plaquer ma bouche sur la sienne pour que les voisins ne l’entendent pas. J’y poussais ma langue jusqu’au fond de sa gorge, elle repoussait la mienne en retenant ma tête pour que je ne recule pas. Dans ma chatte ses doigts courraient de plus en plus vite, me faisant presque mal. Je savais que nous allions bientôt jouir, que le moment était proche, mais je le retardais encore, espérant qu’il n’arriverait pas. J’aurais aimé que ce moment dure éternellement, que nous restions toujours dans cette extase, mais Chou se mit à haleter en gémissant et à ...