1. Quelle journée !


    Datte: 23/06/2020, Catégories: fh, couple, couplus, extracon, cocus, hsoumis, fdomine, humilié(e), sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, Auteur: Math et Phil, Source: Revebebe

    ... ta langue !
    
    À ces mots, elle m’entraîna devant le canapé où elle s’assit et elle dirigea ma tête entre ses cuisses en tirant cette fois-ci sur mes cheveux. Sa petite chatte tout épilée était toute trempée de son désir et je me régalai de son clitoris pour lui offrir un orgasme qui ne se fit pas attendre longtemps. L’onde parcourut son échine et l’électrisa. Elle plaqua ma bouche contre son sexe trempé et j’en profitai pour introduire ma langue en elle. Nous sommes restés dans cette position le temps pour elle de reprendre ses esprits.
    
    — Humm, c’était très bien tout ça, mon petit soumis frustré ; fais-moi à manger maintenant, je meurs de faim ! C’est pas encore maintenant que tu seras autorisé à jouir, tu sais…
    
    Elle avait revêtu son déshabillé noir, avait retiré son serre-tête diabolique, ses bas et était sortie fumer une cigarette, le temps pour moi de préparer le repas nu, le sexe enserré dans sa cage. À son retour, elle s’amusait à me titiller les tétons dès qu’elle en avait l’occasion pour le plaisir sadique de maintenir ma semi-érection, puis nous sommes passés à table.
    
    Après le repas, je dus lui masser les pieds pendant qu’elle buvait son café et fumait une nouvelle cigarette, puis elle fila à la douche. Lorsqu’elle eut fini de se laver, elle m’appela.
    
    — Cet après-midi, j’ai rendez-vous mon chéri !
    
    L’annonce me fit l’effet d’une bombe. Cela faisait des années que j’avais un fantasme candauliste, mais Mathilde n’avait jamais souhaité tenter ...
    ... l’expérience… enfin c’était avant ça ! Je la questionnai pour en savoir plus, mais elle m’interrompit sèchement. Elle m’a seulement expliqué qu’elle devait retrouver son rendez-vous dans un bar sur le front de mer. Je n’avais pas besoin d’en savoir plus, mais je devais l’aider à se préparer pour son rendez-vous !
    
    Elle avait préparé une jupe et un top moulant que je l’aidai à mettre, et comme je lui faisais remarquer qu’elle n’avait pas préparé de sous-vêtements, elle m’expliqua qu’elle trouvait plus humiliant que ce soit moi qui choisisse le string ! Je portai mon choix sur un tanga rouge qui lui allait comme un gant, si j’ose dire. Alors que je remontais le tissu le long de ses jambes pour mettre le tanga en place, elle me saisit par les cheveux et empoigna de nouveau mes couilles.
    
    — J’espère que tu vas bander tout l’après-midi dans ta cage en pensant à moi et à ce que je fais… ou pas, d’ailleurs ! Tu iras chercher les enfants, et je ne veux pas un mot sur tout cela avant leur coucher, c’est compris ?
    
    Ella lâcha mes couilles et pinça mes tétons avec un air supérieur.
    
    — Tu es dure avec moi, ma chérie…
    — Et tu aimes ça ! Alors pas de jérémiades. Bon, c’est l’heure, j’y vais !
    
    Je dus lui attacher ses escarpins avant son départ, et en fermant la porte elle me dit :
    
    — À tout à l’heure ; je t’aime, mon petit soumis frustré !
    
    Et elle me fit un clin d’œil.
    
    L’après-midi fut interminable ; je pensais sans interruption à ce qui pouvait se passer, ce qui maintenait mon ...
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