1. Quelle journée !


    Datte: 23/06/2020, Catégories: fh, couple, couplus, extracon, cocus, hsoumis, fdomine, humilié(e), sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, Auteur: Math et Phil, Source: Revebebe

    ... tenu à me laisser un papier sur lequel il avait déjà noté son numéro de téléphone. J’avais pas du tout l’intention de l’appeler à ce moment, mais je l’avais trouvé charmant et sympa. En fait, je crois que j’ai fait un rêve érotique cette nuit, et ce matin je lui ai envoyé un texto…
    — T’as écrit quoi ?
    — En gros, que je l’avais trouvé sympa et je lui ai demandé s’il était dispo pour boire un verre ensemble avant son départ. Masse-moi les fesses, maintenant !
    — Et ?
    — À ton avis ? J’ai dit « OK, vers 14 heures ? » et là, je me suis dit « Comment je vais faire avec toi ? » D’où l’idée de te dominer et de te frustrer pour faire passer l’enveloppe plus facilement. Je suis sympa, après tout ; depuis le temps que tu me dis fantasmer sur le fait que j’aie une aventure avec un autre mec !
    
    Je comprenais mieux son excitation de ce midi… Je malaxais les fesses de Mathilde au travers de son tanga et j’en fixais le fond suintant tout en écoutant ses révélations. Je me rendis alors compte qu’un fil pendait de ma bite à travers la cage, traduisant l’excitation provoquée par le début de ses aveux.
    
    — Il a dû apprécier ta tenue, mon cœur…
    — Oui, je dirais ça ! Il était déjà installé en terrasse lorsque je suis arrivée, tu sais, sur les banquettes en front de mer. Il m’a d’ailleurs complimentée, me trouvant plus belle encore que sur la plage, le flatteur ! C’est bon, mon petit frustré, tu peux arrêter de me masser les fesses ; retire ma culotte !
    
    Se tournant sur le dos, elle ...
    ... observa ma cage et vit le filet qui en pendait. Elle me fixa alors, un large sourire aux lèvres ; elle savourait le moment.
    
    — Viens me faire une minette, que je te raconte la suite. Ouiii, c’est ça, doucement… Donc on a discuté de tout et de rien en sirotant un mojito. J’ai voulu me rendre aux toilettes, mais entre le soleil, mes talons et le mojito, je sais pas pourquoi j’ai perdu l’équilibre et je suis tombée sur lui, une jambe en l’air. Il a pu apercevoir ma culotte au passage et il a enchaîné en disant qu’il devait me faire un effet renversant. On a ri et je suis allée aux toilettes. En revenant, il m’a questionnée sur toi. Je lui ai expliqué que tu étais un mari permissif ; t’aurais dû voir sa tête ! Il était beaucoup plus détendu et la conversation devint plus émoustillante. Nous avions terminé nos verres depuis un bon quart d’heure lorsqu’il me proposa de me montrer sa chambre d’hôtel à deux pas de là.
    — Vu le goût de latex de ton minou, je devine la suite, ma cochonne !
    — Ta gueule, le cocu ! Contente-toi de lécher et d’écouter la suite !
    — À tes ordres, ma reine.
    
    « Cocu » : le mot avait été lâché et mon sexe commençait à me faire mal ; en plus, cela me tirait sur les couilles, mais un filet continuait à s’écouler de mon méat.
    
    — Après avoir fait le tour du hall, de la piscine et des parties communes de son hôtel, il me proposa un thé dans sa chambre. Dans l’ascenseur qui nous y conduisait, sa main effleura la mienne, puis il tourna la tête et me sourit en ...
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