1. En mars, fais ce qu'il te plait !


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lucyen, Source: Hds

    ... femme ! » Elle enfila un peignoir et descendit sans que je puisse la voir. Ses derniers mots m’avaient glacé le sang mais j’essayais de ne pas y penser. Ça ne pouvait pas être ma femme, voyons… En bas, j’entendais les bruits habituels liés à une livraison (merci, déposez-ça là, voilà la signature, au revoir, bruit de porte qui claque…)
    
    Puis, j’entendis ses pas dans l’escalier. Françoise arriva derrière moi, et reprit ses caresses.
    
    _ Ça va ? Tu es toujours excité ? Près à te faire prendre le cul ?
    
    _ Oh ! Oui ! Prêt à tout avec toi !
    
    _ Hmm… oui ! Je vais t’enculer comme tu m’encules, sans ménagement, bien profondément dans ton petit cul vierge ! (Je n’avais jamais dit à François que j’avais déjà eu quelques expériences avec des hommes…)
    
    Elle me mit un doigt dans le cul, bientôt deux, et commença de me branler. Elle sortit ensuite ses doigts et écarta des deux mains mes fesses. J’essayais de pousser de mon côté pour ouvrir mon anus quand je sentis son gland se poser sur mon petit trou et pousser pour entrer.
    
    _ Oh ! Oui ! Cria-t-elle alors que le gode entrait en moi. Tu aimes ça salop, hein ! Continua-t-elle à crier…
    
    _Oui, j’aime ça ! Encule-moi !
    
    Le gode, immense, encore plus que dans mes souvenirs il me semble, continuait à se frayer un chemin en moi. Arrivé au bout, ou presque, il fit demi-tour et commença à me baiser, à me labourer les entrailles. La douleur initiale passait et laissait place à un plaisir non dissimulé. D’autant plus que ...
    ... Françoise continuait à m’exciter en me criant dessus et en me donnant des fessées. J’entendais son souffle rauque et fort dans mon dos et cela aussi m’excitait. Et de mon côté, effondré sur le lit, dans une position rendue bien inconfortable par mes menottes, je bandais dur et je gémissais de douleur et de plaisir mêlés.
    
    Je ne sais pas combien de temps cela a duré mais au bout de quelques minutes, alors que je ne voyais toujours rien, je sentis le lit s’affaisser devant moi, comme si quelqu’un était en train de s’assoir dessus ! Alors que dans le même temps, je sentais toujours Françoise qui me sodomisait…
    
    _ He ! Qu’est-ce qui se passe ?!
    
    _ Ne t’en occupe pas et lèche moi la chatte plutôt que de parler !
    
    Je reconnaissais la voix de Françoise devant moi et je sentis ses mains se poser sur mon crâne pour guider ma tête jusqu’à sa chatte dégoulinante : elle était assise jambes écartées devant moi. Ce qui posait la question de savoir qui m’enculait derrière bien sûr !
    
    J’avais la tête en feu et j’imaginais les pires choses possibles… Mais comme j’avais cette chatte devant moi et que je ne pouvais de toute manière rien y faire, je me mis à la lécher, à boire son jus… J’entendais toujours derrière moi le souffle rauque et de plus en plus court, que je ne pouvais plus, maintenant, qu’attribuer à un homme…
    
    Il me donna bientôt de grands coups de reins, défonçant mon cul comme jamais il ne l’avait été avant. Puis je le sentis se vider en moi ! Il portait, heureusement, un ...