1. En mars, fais ce qu'il te plait !


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Lucyen, Source: Hds

    Françoise et moi continuions à nous voir plus ou moins régulièrement. Soit en cachette de ma femme, soit parce qu’elle avait besoin d’un coup de main chez elle. Nos filles s’entendaient très bien, c’était encore une raison de plus pour nous voir à la dérobée (combien de fois ai-je pris un café gourmand en allant chercher les filles chez elle ?)
    
    Bref… Nous devenions de plus en plus proches et nous partagions nos fantasmes. Françoise exigeait de connaître les miens afin de me préparer quelques surprises… Je les lui indiquais volontiers, même s’il n’y a là rien de très original : le faire à 3, le faire dehors ou dans un lieu public, avec un inconnu, avec un homme éventuellement… Et puis… Je lui ai laissé entendre que j’aurais bien aimé tenter le coup avec une femme portant un gode-ceinture.
    
    La semaine suivante, elle téléphona à ma femme pour organiser un week-end. Elle avait besoin de moi pour aller acheter un peu de matériel de jardin et l’aider à remettre celui-ci en état. J’irai chez elle et, pour être tranquille, ma femme garderait les filles toute la journée. Rendez-vous était donc pris sans que j’aie même mon mot à dire. Quelle ironie quand on y pense…
    
    J’arrivais le samedi matin chez elle. Bien sûr, pas de courses à faire. Ni même de préliminaire. A peine arrivé, elle me fit monter dans sa chambre et me fit mettre tout nu. Pendant que je me déshabillais, elle sortit un gode-ceinture tout neuf de sa table de nuit. « Tu aimes ? Je l’ai acheté exprès pour toi… ...
    ... »
    
    Un peu angoissé, je finissais de me déshabiller, à moitié en érection pour cette « première ». Elle me demanda alors de me mettre sur le lit, sur le dos. Elle sortit des menottes (4 paires) et commença alors à m’installer de manière à ce que je me retrouve très cambré, les fesses en l’air au bord du lit, prêt à me faire prendre sans pouvoir bouger ou y faire quoi que ce soit.
    
    Elle se déshabilla alors et installa son gode, de belle taille (quelque part, j’étais un peu vexé qu’elle soit mieux équipée que moi de ce côté-là du coup), ferme mais assez souple et de texture assez réaliste, et s’approcha de moi pour me le faire sucer. Ce que je fis, je l’avoue, sans grand enthousiasme, appréciant peu le goût du plastique dans ma bouche. Cela eu tout de même le mérite de me faire bander bien raide et l’inquiétude que j’avais finissait par disparaître…
    
    « C’est l’heure de passer aux choses sérieuses » me dit-elle. Elle sortit un préservatif qu’elle passa sur sa queue. Voyant mon air étonné (depuis la dernière séance dans la salle de bain, nous n’en utilisions plus), elle me dit : « ce sera plus agréable pour toi. » Pour parfaire la mise en scène, elle me mit un bandeau sur les yeux, j’étais ainsi totalement à sa merci. Sur ce, elle commença à étaler du lubrifiant sur mes fesses et sur ma rondelles qu’elle commença ainsi à masser, à assouplir…
    
    Quand on frappa à la porte. « J’attends un colis, je suis désolée… Il faut que j’y aille, c’est important ! Ou si ça se trouve, c’est ta ...
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